Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce mardi 29 octobre 2019 Le Matin La ministre indonésienne des Affaires étrangères, Mme Retno Marsudi, a salué à Jakarta, les efforts déployés par SM le Roi Mohammed VI en faveur de la cause palestinienne, dans une déclaration à l'issue d'une rencontre avec le Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'Etranger, Nasser Bourita. « L'Indonésie salue hautement SM le Roi qui ne cesse de fournir des efforts considérables en faveur de la cause palestinienne, notamment en Sa qualité de Président du Comité d'Al Qods », a affirmé Marsudi, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse conjointe à l'issue de son entretien avec Bourita. Elle a affirmé, à ce sujet, le soutien de l'Indonésie à la solution de deux Etats reconnue par la communauté internationale, dans la perspective de mettre un terme au conflit israélo-palestinien, ajoutant que la stabilité de la région est nécessaire pour la paix et la sécurité mondiales. Le Maroc et la Serbie s'accordent sur les principes relatifs au respect de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale des Etats, a déclaré le vice-président de l'Assemblée nationale serbe, Veroljub Arsić. Lors d'entretiens avec le 5ème vice-président de la Chambre des conseillers, Abdelhamid Souiri, Arsić a réitéré la position de la République serbe qui soutient le Maroc dans la cause de son intégrité territoriale, dans le cadre du droit international. Selon un communiqué de la Chambre des conseillers, Arsić, qui préside une délégation du groupe d'amitié parlementaire Maroc-Serbie, a affirmé que le mémorandum d'entente entre les parlements des deux pays est en phase avancée, sur la voie des relations parlementaires entre le Maroc et la Serbie. L'Economiste Le Maroc a été prié de prendre un certain nombre de mesures pour sortir de la liste grise des paradis fiscaux établie par l'Union européenne. Les dispositions prévues dans le projet de loi de finances telles que la requalification des 12 zones franches, le rabotage des avantages fiscaux accordés aux exportateurs, les amendes pour refus de communication des informations concernant certains clients de banques s'inscrivent dans cette démarche. La signature en juin dernier de la Convention multilatérale pour la mise en œuvre des mesures relatives aux conventions fiscales pour lutter contre la fraude devrait lui mettre davantage de pression. Pour les experts de la Banque mondiale, les startups marocaines et les jeunes PME innovantes sont confrontées à la situation classique de la «vallée de la mort». La traversée du désert correspond à la période qui s'écoule entre le moment où une jeune pousse reçoit une contribution initiale en capital et le moment où elle génère des revenus. Selon la Banque mondiale, le marché manque de financement à partir de l'étape de pré-amorçage (20.000 dollars) jusqu'à l'étape précoce du capital-risque (2 millions de dollars). Du coup, les star-tups, surtout celles qui sont à leurs débuts, se heurtent à des obstacles juridiques qui en empêchent la survie. Certes, le capital- investissement est relativement bien développé au Maroc, mais «le capital-risque et les investisseurs providentiels, notamment les Business Angels, sont rares», constate la Société financière internationale. Aujourd'hui Le Maroc L'Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS) a effectué une mission de Contrôle sur place de la MGPAP. Dans son rapport, le gendarme des assurances à identifier les nombreux dysfonctionnements et anomalies de la MGPAP au titre des exercices 2013 à 2018. D'importantes irrégularités ont été relevées par rapport à la loi, à la réglementation ainsi qu'aux statuts et règlements. L'ACAPS signale les dépenses importantes relatives à l'organisation des assemblées générales de la mutuelle. Celles-ci ont coûté de 2013 à 2018 plus de 17.955.332 DH, soit en moyenne plus de 2,5 millions DH par assemblée générale. Le rapport dénonce le recours aux contrats négociés et la consultation directe de certains prestataires pour l'exécution des travaux ou services sans support contractuel et sans faire jouer la concurrence. L'externalisation de l'information financière améliore considérablement le rendement de l'entreprise. La démarche permet en effet au top management de se centrer sur le développement de l'activité. Et c'est dans cette optique que de plus en plus d'entreprises, pour des raisons de taille et de coût, commencent à externaliser ce type de service. Il y a déjà deux décennies, le Maroc a accueilli l'externalisation de certains métiers comme celui de l'assurance au bénéfice d'entreprises étrangères. Aujourd'hui, les entreprises marocaines ont le réflexe d'externaliser le principal de la fonction financière pour libérer les équipes. La rentabilité en dépend. L'Opinion 564.549 est le nombre de fonctionnaires civils au Maroc en 2019, en hausse de 4,03% par rapport à 2009. Par ailleurs, 69.360 départs à la retraite pour limite d'âge sont prévus durant la période 2019-2024. Le salaire mensuel net moyen a, de son côté, augmenté de 32,21% entre 2009 et 2019, passant de 6.051 DH à 8.000 DH. C'est ce qui ressort du dernier rapport sur les ressources humaines accompagnant le PLF 2020, attribuant la baisse de recrutement des fonctionnaires observée durant 2015-2019 à deux facteurs : lancement de l'opération de recrutement des enseignants au niveau des AREFs, et départs massifs à la retraite pour limite d'âge ou anticipé du personnel du ministère de l'Education nationale. Malgré cette baisse, les 564.549 fonctionnaires civils de l'Administration absorbent 112,16 milliards de DH en 2019. Le Crédit Agricole du Maroc (CAM) a clôturé avec succès son émission obligataire subordonnée perpétuelle de 850 millions de dirhams (MDH) avec un taux de sur-souscription de 2,49 fois. Les institutionnels et investisseurs de différentes catégories (OPCVM, compagnie d'assurance et de réassurance, organisme de retraite et de prévoyance et compagnie financière) ont ainsi participé à cette opération avec une souscription à plus de 2 milliards de dirhams (MMDH) pour un plafond offert de 850 MDH, indique la banque dans un communiqué. Avec cette émission, le CAM a procédé au renforcement de ses fonds propres et de son ratio Tier One au-delà du niveau réglementaire requis, en ligne avec son plan d'actions tel qu'entériné par le Conseil de Surveillance du 18 Juillet 2019. Al Bayane Les atouts touristiques offerts par le Maroc en direction des Canadiens ont été mis en avant lors du 31ème Salon International Tourisme Voyages de Montréal. La participation marocaine, à cette foire a porté sur la mise en valeur du potentiel et des particularités de la destination Maroc notamment la diversité de l'offre, l'art d'accueillir et l'hospitalité ainsi que la riche gastronomie, a indiqué Fouad Azim de l'Office national marocain du Tourisme (ONMT). «Nous nous attelons à promouvoir la destination Maroc à travers l'augmentation des vols de la compagnie Royal Air Maroc entre le Canada et le Royaume, mais aussi ceux d'Air Canada», a-t-il fait savoir, ajoutant qu'avec «la réouverture prochaine de l'antenne de l'Office à Montréal on entend être plus agressif sur le marché anglophone du pays pour attirer plus de touristes». Des éléments de la préfecture de police de Laâyoune ont été contraints de faire usage de leurs armes de fonction et de tirer des balles de sommation, dimanche, lors d'une intervention sécuritaire pour arrêter cinq individus, âgés de 22 à 26 ans, dont un multirécidiviste. Les policiers ont été contraints de tirer quatre balles de sommation pour arrêter les individus qui avaient opposé une résistance farouche et après que deux d'entre eux aient tenté d'agresser les éléments de la police avec des armes blanches de gros calibre, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). La police était intervenue dans le cadre des investigations menées au sujet d'une bagarre qui a éclaté aux premières heures de dimanche, entre deux groupes suspectés d'implication dans le trafic de drogue, souligne la même source. Libération L'écosystème marocain du secteur de l'automobile sera en vedette lors de l'édition 2019 du «FT Future of the Car Summit USA», un évènement phare sur les tendances futures de cette industrie sur le marché américain, qui s'ouvre mardi à Détroit, dans l'Etat du Michigan, à l'initiative du prestigieux quotidien économique le «Financial Time» avec la participation attendue d'acteurs majeurs du secteur au niveau mondial. Une importante délégation marocaine prend part à ce Sommet où le Royaume est invité d'honneur avec à l'agenda une série d'évènements sur deux jours pour présenter le potentiel et les atouts du secteur automobile dans le Royaume. Dans une note de présentation de l'évènement, le Financial Times précise que le Maroc est classé, selon l'Agence Fitch, 5ème plus grand exportateur étranger vers l'Europe avec une capacité installée de 700.000 véhicules, ce qui en fait le n°1 en Afrique. Les Chambres des représentants du Maroc et du Mexique ont fait part à Mexico, de leur détermination à renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines et à donner un nouvel élan au partenariat entre les parlements des deux pays. Cette volonté a été exprimée par les responsables des deux pays à l'occasion de la création du Groupe d'amitié parlementaire Mexique-Maroc au sein de la Chambre des députés mexicaine, un regroupement de 14 députés de différents partis qui vise à renforcer la coopération interparlementaire et le rapprochement entre les deux pays. « La création de ce groupe d'amitié au sein de la Chambre des députés mexicaine ouvre la voie à de nouveaux horizons de partenariat entre les institutions parlementaires des deux pays », a souligné le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, dans un message lu en son nom par l'ambassadeur du Royaume à Mexico, Abdelfattah Lebbar. Akhbar Al Yaoum Le projet de la réforme pédagogique de la licence de Saaïd Amzazi a déclenché une nouvelle crise à l'Université. Des syndicats ont ainsi appelé à des Assemblées générales extraordinaires avec un seul point à l'ordre du jour, à savoir « les défaillances du Cahier des normes pédagogiques nationales du Cycle du Bachelor ». Ce cahier a été élaboré sans qu'il fasse l'objet d'une quelconque étude de la part des parties concernées (enseignants, syndicats…), indiquent des sources syndicales, notant que cette démarche a été rejetée par les universités. Ce comportement reflète, selon les mêmes sources, une incapacité à élaborer des concepts à même de mettre la réforme sur les bons rails. Les aéroports du Royaume ont enregistré, en septembre dernier, un volume de trafic commercial passagers de 2 176 285 passagers contre 1 993 965 passagers accueillis le même mois l'année écoulée, soit une hausse de 9,14%. Un communiqué de l'Office national des aéroports (ONDA) précise que l'aéroport Mohammed V a accueilli 42% environ du trafic passagers global, soit 907 267 passagers en septembre 2019 contre 877 470 passagers pour la même période de l'année 2018, en évolution de 3,40%. L'aéroport Marrakech Menara a enregistré , quant à lui, une forte hausse de 22,47% en accueillant 538 247 passagers. De même, l'aéroport Tanger Ibn Battouta a signé une croissance à deux chiffres de 28,58% en accueillant 130 785 passagers en septembre 2019 contre 101 712 passagers accueillis en septembre 2018. Al Massae Les pharmaciens ont appelé le ministère de la santé à dépêcher des commissions d'inspection pour effectuer des visites surprises au sein des cliniques privées qui facturent les médicaments au Prix public. Cette pratique leur garantit une importante marge de bénéfice, au détriment du pouvoir d'achat des patients. Le président de la Confédération des syndicats, Mohamed Lahbabi, a indiqué, dans ce sens, que des cliniques privées n'ont pas respecté la circulaire de l'ancien ministre de la santé qui les met en garde contre le stockage des médicaments au prix public, expliquant que ces cliniques ont repris cette pratique juste après le départ de Doukkali. Le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) a condamné, dimanche, les agissements de certains individus qui ont brûlé le drapeau national lors d'une manifestation samedi à Paris, soulignant que cet acte « enfantin et lâche » est une « atteinte grave à l'un des symboles de la souveraineté nationale et à la dignité des Marocains » aussi bien dans le Royaume qu'ailleurs. Dans un communiqué, le CCME a indiqué que son Secrétaire général Abdellah Boussouf affirme que « la profanation du drapeau national est un acte criminel qui n'a aucun rapport avec la liberté d'expression ». Ce « comportement barbare nuit à des générations de Marocains et Marocaines, du nord comme du sud du Royaume, qui ont consenti d'immenses sacrifices pour l'indépendance du Maroc, l'unité de ses terres ainsi que pour son progrès et développement », a-t-il relevé. Al Ahdath Al Maghribia Les exportateurs ne voient pas d'un bon œil le Projet de loi de Finances 2020. Selon l'Association marocaine des exportateurs (ASMEX), ce projet contient des dispositions qui risquent d'impacter la compétitivité des entreprises exportatrices. Ces nouvelles dispositions fiscales représentent des risques majeurs pour les entreprises et fragilisent la compétitivité de l'offre nationale, notamment vis-à-vis des pays auxquels le Maroc est lié par des accords de libre-échange, précise l'ASMEX, notant que les exportateurs s'attendaient plutôt à plus d'appui et d'accompagnement pour consolider leur présence sur les marchés internationaux. Ils pointent du doigt, en particulier, la suppression de l'exonération quinquennale sur les nouvelles créations d'entreprises exportatrices, le relèvement du taux de l'IS de 17,5% à 20%, le relèvement à 15% du taux de l'IS pour les entreprises ayant le statut CFC et le relèvement à 15% du taux de I'IS pour les entreprises installées dans les Zones Franches d'Exportation. Après la CDT, c'est au tour de l'UMT de fustiger le PLF 2020, qui regrette toujours que la rencontre de consultation avec le gouvernement soit intervenue à la dernière minute. Selon la centrale syndicale, cette démarche démontre le manque d'engagement du gouvernement dans l'application de l'Accord du 25 Avril 2019, et en matière d'institutionnalisation du dialogue social. Cette rencontre consultative s'était transformée selon l'UMT à une simple séance d'écoute. Le syndicat qui estime que l'Exécutif est toujours bloqué dans une approche néolibérale ne voyant dans le dialogue et les services sociaux qu'une charge supplémentaire, considère que le dialogue social et les accords multipartites qui en résultent représentent un investissement dans le capital humain, catalyseur de tout développement durable. Al Alam La Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP) a regretté le manque de disponibilité de Facebook qui n'a fait aucune suite à ses demandes concernant les données à caractère personnel des internautes au Maroc. Dans un communiqué, la CNDP rappelle avoir, lors d'une réunion tenue le 11 avril à son siège, formalisé un certain nombre de demandes auprès de l'entreprise et qu'il a été convenu de l'organisation d'un suivi régulier du traitement de ces demandes (…), notant que Facebook « n'a pas réussi, depuis, à proposer une planification fiable permettant d'avancer » sur ces demandes. Concernant les points sur lesquels elle attend des réponses, la CNDP précise qu'il s'agit de s'assurer que les data centers hébergeant les données à caractère personnel des citoyens et résidents au Maroc soient localisés dans des pays considérés par la CNDP comme adéquats en termes de protection des données à caractère personnel. La population féminine rurale au Maroc est estimée en 2019 à 6,5 millions de personnes, représentant presque la moitié de la population rurale (49,2%), selon le Haut-commissariat au plan (HCP). Les femmes rurales recèlent ainsi un potentiel humain important, puisque 59,4% d'entre elles sont en âge d'activité (15-59 ans), contre 29,6% âgées de moins de 15 ans et 11% de 60 ans et plus, indique-t-on dans les Brefs du Plan « A propos de la femme rurale au Maroc », publiés à l'occasion de la journée internationale de la femme rurale, célébrée le 15 octobre de chaque année. En 2019, la population des femmes rurales d'âge fécond (15-49 ans) s'élève à 3,3 millions de personnes, alors qu'elles sont 6,2 millions en milieu urbain et 9,5 millions au niveau national, fait savoir le HCP. Rissalat Al Oumma Le nombre de permis de résidence délivrés par les Etats membres de l'Union européenne à des ressortissants extracommunautaires est resté supérieur à 3 millions en 2018, a annoncé l'Office statistique de l'Union européenne (Eurostat). Un total de 127 334 ressortissants marocains ont reçu un permis de résidence dans l'Union européenne au cours de l'année 2018, près de la moitié d'entre eux, soit 45%, résident en Espagne, 25% en France et 15,8% en Italie, souligne Eurostat dans un rapport, notant que les Marocains se placent ainsi en sixième position des citoyens extracommunautaires ayant bénéficié du permis de résidence dans l'UE. Dans une note adressée aux walis et gouverneurs, le ministre de l'Intérieur, Abdelouafi Laftit, a appelé les collectivités territoriales « à préparer leurs listes des documents comptables et financiers et à les publier par tous les moyens possibles ». Cette mesure, qui vient consacrer les principes de bonne gouvernance au sein des sévices publics et promouvoir davantage d'ouverture et de transparence », figure dans les articles 249 de la loi organique n° 111-14 relative aux régions, 219 et 275 de la loi organique 113.14 relative aux communes. Bayane Al Yaoum La 10ème édition du Salon international des dattes au Maroc (SIDATTES 2019), organisée du 24 au 27 octobre à Erfoud, a enregistré une grande affluence avec plus de 80.000 visiteurs, a-t-on appris auprès des organisateurs. Cette édition, organisée sous le thème « Palmier dattier, levier de l'emploi et pilier de l'économie oasienne », a été « une grande réussite avec plus de 80.000 visiteurs », a indiqué le délégué du salon, Mohamed Bousfoul. Il a ajouté que le SIDATTES 2019 a été organisé sur un nouveau site aménagé et dédié au salon, soulignant que cette édition a été marquée par une mobilisation des exposants marocains et étrangers et une participation active des visiteurs. Bousfoul a relevé que le SIDATTES a connu la participation de plus de 220 exposants du Maroc et de 15 pays étrangers. La Fondation allemande Friedrich Naumann pour la Liberté (FFN) s'est félicitée de la situation des établissements pénitentiaires au Maroc et ce lors d'une série de conférences tenues récemment dans les villes de Calw, Bretten et Karlsruhe au Baden-Wurtemberg sur la situation des droits de l'homme dans les prisons. Ces conférences s'inscrivent dans le cadre du projet lancé par cette Fondation en 2017 visant à mettre en place des clubs des droits de l'homme pour les prisonniers, piloté par le directeur de la FFN Maroc, Olaf Kellerhoff, qui a effectué des visites à plusieurs établissements pénitentiaires marocains et eu des rencontres avec les prisonniers et les responsables de ces prisons. Lors de ces conférences, M. Kellerhoff a souligné l'évolution enregistrée dans les établissements pénitentiaires au Maroc, mettant l'accent sur les grandes réformes menées sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, notamment la mise en place et le suivi des recommandations de l'Instance Equité et Réconciliation (IER) qui a été chargée de régler le dossier des violations passées des droits de l'homme. Al Ittihad Al Ichtiraki Les chefs d'Etat et de gouvernement du Mouvement des pays non-alignés ont vivement salué le rôle de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, président du Comité Al-Qods, dans la défense des droits légitimes du peuple palestinien à établir un Etat souverain, indépendant et viable avec Al-Qods Est pour capitale, conformément aux décisions internationales y afférentes et au plan de paix arabe visant la création de deux Etats indépendants reconnus internationalement. Concernant la question du Sahara marocain, le Mouvement qui a tenu son 18è sommet à Bakou en Azerbaïdjan du 25 au 26 octobre et adopté le Document final et la Déclaration de Bakou à l'issue d'intenses délibérations, a réaffirmé les Résolutions adoptées depuis 2007 par le Conseil de sécurité, date de la soumission de l'initiative marocaine d'autonomie, à la base du processus onusien en cours sous l'égide exclusif des Nations Unies. Deux jeunes marocaines font partie de 50 jeunes issus du monde entier qui rencontreront des dirigeants mondiaux, des parlementaires et des universitaires britanniques, dans le cadre du programme « Future Leaders Connect », initié par le British Council. Il s'agit de Fatima Zahra Outaiss et Amina Attar, qui devront bénéficier de cette initiative qui en est à sa troisième édition, indique l'organisation britannique dans un communiqué, précisant que les 50 lauréats ont été sélectionnés parmi 155.000 candidats issus des quatre coins du monde. S'étalant sur dix jours (21 octobre – 1-er novembre), le programme comprend une formation avancée en leadership à l'institut Moller, au Churchill College (université de Cambridge), ainsi que des visites au Parlement britannique et à la résidence du Premier ministre britannique.