Enseignement supérieur public Dans certains de ces établissements, les responsables administratifs agissement en dehors des lois qui les régissent comme s'il s'agit de propriétés privées. Si au niveau de l'ENCG et de l'ENSA, les choses sont claires puisque l'accès à ces établissements est soumis à des concours, au niveau de la faculté des lettres, les fonctionnaires par exemple qui souhaitent poursuivre des études universitaires, en vue d'améliorer leur situation administrative, est c'est légitime, les choses se déroulent d'une façon incroyable et sont loin d'être juste et transparente. Le fonctionnaire doit présenter un dossier complet renfermant notamment l'accord du chef de son administration. Après, il doit réussir un entretien avec un professeur de ladite faculté avec généralement des questions provocatrices, sic. Ce qui est nouveau cette année et scandaleux c'est que le fonctionnaire qui réussit l'entretien doit nécessairement renseigner et faire signer encore une fois par le chef de son administration un deuxième accord accompagné de l'emploi du temps. Comme quoi ce fonctionnaire doit se présenter à la faculté tous les jours de la semaine. Et aller trouver le responsable qui osera signer cet accord. Du jamais vu!!! C'est une façon de dire aux fonctionnaires allez vous-en, circulez, il n'y a rien à voir. Messieurs!! Depuis quand l'accès à une faculté des lettres était soumis à des conditions de ce genre. On dit que le Maroc est un Etat de droit. Et bien, imposez ce que vous voulez avec des lois. Pour l'accès à la faculté polydisciplinaire, c'est une autre histoire. En effet, cette année, on a limité son accès au bac sciences physique à une moyenne de 12,83 et bac SVT à 12,44 en dehors de toute réglementation. J'espère que les responsables de ces établissements réagissent et nous éclairent sur se qui se passe "chez" eux. Pour l'accès à la résidence universitaire, c'est une autre histoire?????!!!!