Ya biladi Les importantes chutes de neige au Maroc touchent durement les populations enclavées, menant parfois à des drames. L'effondrement, mercredi, du toit d'une maison en pisé à Douar Zroun, dans la commune de Tighedouine (province d'Al-Haouz), a causé la mort d'une femme qui se trouvait seule chez elle. Les autorités locales et les services de la Gendarmerie Royale et de la Protection civile sont intervenus pour prendre les mesures nécessaires et apporter assistance et soutien à la famille de la victime. Actu Maroc C'est la première fois qu'un dignitaire saoudien ose parler en pleine émission télé de grande audience, de l'existence d'un tourisme sexuel à Marrakech en insinuant que cette ville devait être interdite aux sportifs. Il s'en ai ainsi pris à un joueur de football en direct qui, au lieu de rejoindre le club anglais de Manchester United pour parfaire sa préparation, a fait un crochet par la ville ocre marocaine, s'est fatigué davantage en se payant du bon temps. Aussitôt après cette déclaration insultante pour la renommée du Maroc et la ville de Marrakech, une vague de colère s'est emparée des internautes marocains et étrangers qui ont jugé les propos du responsable saoudien diffamatoires pour tout un pays et à déconseiller aux sportifs qui tiennent à leur forme. Le Maroc n'a pas encore réagi officiellement et fermement à cette déclaration inamicale et guère fraternelle de ce haut responsable saoudien à qui le statut qu'il occupe lui interdit de tenir de tels propos à l'égard d'un pays qui entretient avec le sien des relations exemplaires. Cette phrase est d'autant plus déplacée qu'elle a été prononcée au moment où ces deux nations s'apprêtent à participer à la prochaine coupe du monde au moins de juin prochain, donnant ainsi de plus larges échos aux propos d'une haut dirigeant du sport saoudien. H24 info Les produits textiles turcs ne seront plus exonérés. Le ministère de l'Industrie, de l'investissement, du commerce et de l'économie numérique a décidé de mettre fin à l'exemption sur certains produits textiles turcs malgré l'accord de libre-échange (ALE), datant de 2006, qui existe entre les deux pays. Annoncée le 8 janvier dans le bulletin officiel et prenant effet le 9 janvier, la décision du royaume vise à protéger l'industrie textile nationale, face à la montée des produits turcs sur le marché national ces dernières années. En effet, plusieurs marques turques, notamment LC Waikiki, Defacto et Koton ont décidé de partir à la conquête du marché national en ouvrant des magasins dans les grandes villes du royaume, à savoir Casablanca, Rabat, Marrakech, Tanger, Fès, Agadir… Cette décision n'est pas le fruit du hasard, puisqu'elle viendrait suite à une étude menée par l'Association marocaine des industries du textile et de l'habillement (AMITH) dont l'objectif était de démontrer que certains opérateurs turcs adoptaient une stratégie de vente à perte afin d'inonder le marché national avec leurs produits. En effet, les importations des produits textiles turcs ont enregistré une hausse importante de 175 % entre 2013 et 2017.