« En France, les réseaux sociaux se font l'écho, à leur manière, des événements qui secouent l'hexagone. À Paris et un peu partout dans le pays, la colère gronde. Le « hirak macronien », du nom du mouvement de protestation réclamant un traitement digne pour les habitants de banlieue et la fin de la violence policière, connaît depuis plusieurs jours une vague d'arrestations. Après quelques jours de mouvement pacifique, des échauffourées ont éclaté, et les relations avec les forces de l'ordre se sont tendues avec l'arrestation de plusieurs centaines de manifestants. Les réseaux sociaux, véritable force de frappe : La place des réseaux sociaux dans ce mouvement de protestation est centrale pour les militants qui retransmettent tous les soirs sur Facebook, Twitter ou Tik Tok des directs des rassemblements quotidiens des derniers jours. Ils ont permis à l'opinion de se rendre compte de l'ampleur du mécontentement et de la mobilisation. Résultat, un mouvement de solidarité s'est créé dans le reste du pays, pour aboutir à une marche blanche d'une ampleur inégalée. Elle s'est déroulée à Nanterre ce jeudi 29 juin. Elle a aussi été retransmise sur les réseaux sociaux qui sont in fine une véritable arme de communication pour le mouvement. Communiquer via ces supports permet au mouvement de contrer les accusations de l'Etat à l'encontre de ses cadres aujourd'hui incarcérés. La justice française les accuse d'incitation à la violence, mais aussi, et plus grave, d'atteinte à la sécurité de l'Etat. Les militants rétorquent qu'ils ne sont rien de tout cela. C'est aussi une tribune supplémentaire pour le décompte des arrestations. Des milliers selon les derniers chiffres. Le gouvernement pris pour cible : Les membres du gouvernement, eux, sont les boucs émissaires des réseaux sociaux. Ils sont unanimement critiqués pour leur gestion estimée déplorable de la crise. Une délégation ministérielle dans les banlieues est d'ailleurs en cours. «Les débiles sont en banlieue», s'indigne sur TwitterAbdulah Akaakil. Les ministres devraient négocier avec les détenus plutôt que de tenter une quelconque médiation. Car les militants l'assurent, le mouvement ne s'arrêtera pas tant que ceux qu'ils présentent comme leur détenus politiques, ne seront pas libérés ». 1-Dbibina est certain que ses fidèles lecteurs et lectrices sont dubitatifs face à cet article digne d'un correspondant français au Maroc, qui traite l'information avec cet esprit hautain du donneur de leçon.....mais c'est parce que tout simplement Dbibina vient de plagier, mot pour mot, un article de « RFI », datant du 13 juin 2017, sous le titre : « Les réseaux sociaux, caisse de résonance de la colère dans le rif marocain », de la correspondante de ce média au Maroc, Sara Doublier, en prenant le soin de changer tout ce qui fait référence au Maroc et au « hirak rifain » par « banlieue française » et «hirak macronien »... 2-Comme vous l'avez constaté, notre consœur qui kiffe sa life au Maroc, n'a pas hésité à brosser un sombre portrait de la situation dans notre pays, en estimant que les réseaux sociaux (qui sont de libre accès chez nous contrairement à son pays) sont « une véritable arme de communication pour les mouvements de contestation dans le Royaume»... 3-bizarrement « cette arme », que Sara Doublier promeut « la puissance de frappe » quand il s'agit de fustiger le Maroc pour le compte de la presse macronienne aux ordres, n'a pas l'air d'être appréciée à sa juste valeur, quand elle sévit en plein cœur de l'Hexagone dans le cadre du « hirak macronien », ayant mis la France à feu et à sang....l'arme des réseaux sociaux se transforme-t-elle de simple pistolet à eau, quand elle se trouve au Maroc, en un puissant fusil à pompe, une fois que celle-ci traverse la méditerranée ???? Seule Sara peut nous répondre !!! 4-En effet, Macron, tout juste revenu de son concert d'Elton John, est sorti récemment pour pointer du doigt le « dangereux » rôle des réseaux sociaux dans les émeutes des derniers jours, en allant jusqu'à intimer l'ordre aux représentants des plus grandes plateformes, à l'instar de Snapchat, TikTok, Meta et Twitter, à l'effet de réguler leur utilisation, collaborer avec les forces de l'ordre pour identifier les manifestants et empêcher ces derniers de faire des réseaux sociaux « une arme de frappe » contre la République..... ladite « arme de frappe » qui, rappelons-le, était pourtant très appréciée, lors des événements du « hirak rifain »....WA FHAAAAAAAM 5-Pourtant les leaders du « hirak rifain » avaient également appelé à la violence et avaient contribué à la destruction de biens publics, allant jusqu'à mettre en danger la vie de plusieurs éléments des forces de l'ordre après avoir incendié un bâtiment où ils étaient postés...... 6-Mais à ce moment là, pour Sara Doublier, les wlidates mama franssa et leurs donneurs d'ordre, ce n'était qu'un « mouvement pacifique » avec des « revendications légitimes », qui utilisaient les réseaux sociaux comme simple « arme de communication » pour se protéger du vilain « Makhzen » yak ??? 7-Dbibina n'est pas du genre à prendre du plaisir dans les souffrances d'autrui...il laisse ca aux algériens qui en ont fait une politique d'Etat.....mais il est vrai qu'il croit dur comme fer au Karma et que finalement Denia dewaaaaraaa, dans le sens que tu finis toujours par récolter ce que tu as semé... et quand tu espères semer la zizanie au Maroc eh bah tu fini toujours par TNOUUUUUUD TG3333333D