Dans sa dernière vidéo diffamatoire, Dounia Filali, pour étayer ses propos, met en évidence les allégations d'un ex-trafiquant de drogue et braqueur de banques, Gérard Fauré, qui a fait une douzaine de séjours en prison. L'antisémite Dounia Filali, soupçonnée (avec son mari) «d'incitation à la haine raciale», serait désormais consciente que la procédure d'obtention du statut de réfugié est compromise. Dans sa dernière vidéo diffamatoire publiée sur sa chaîne YouTube, Dounia Filali, pour étayer ses imputations, cite les allégations d'un ex-trafiquant de drogue et braqueur de banques, Gérard Fauré, taulard et grand bandit notoire. Une tentative d'enfumage désespérée, téléguidée par deux personnes : Ali Lmrabet et Zakaria Moumni. Une demi-douzaine de photographies de cette agitatrice et de son mari réalisant la «quenelle» ont circulé sur les réseaux sociaux, mais aussi, des propos violemment antisémites et foncièrement antifrançais. Ils ont même pourfendu la Chine, où ils ont séjourné de 2017 à 2021, pays où «la liberté d'expression est absente.» La «quenelle» (bras tendu vers le bas et main opposée posée sur l'épaule) a été popularisée par le polémiste Dieudonné, condamné à plusieurs reprises pour des déclarations haineuses, pourtant glorifié par le couple dans ses différentes interventions médiatiques. Plusieurs associations qui luttent contre l'antisémitisme internationales appellent à ce que l'admission du couple en France soit refusée, et réclament de les interdire de séjourner effectivement dans le pays. Le couple pourrait, en effet, se voir appliquer une mesure d'éloignement du territoire français. La présentation d'une demande par le couple fraudeur tendant «à séjourner en France au titre de l'asile» est une aubaine qui s'effondre au fil des jours. La loi française prévoit des motifs de refus de délivrer un titre de séjour : par exemple, les cas où la présence de l'étranger constitue une menace grave pour l'ordre public, ceux où la demande repose sur une fraude délibérée ou un recours abusif aux procédures d'asile, ou encore les cas des étrangers ressortissants des pays dits «d'origine sûrs». Or, le Maroc est un pays «sûr», selon la France. Dounia Filali et son mari cherchent à s'installer en France alors qu'ils ne sont en réalité que des réfugiés «économiques» qui tentent de tromper la vigilance des autorités. Leur dossier, actuellement, fait l'objet d'un long et complexe processus de sélection qui démontrerait, sans doute, qu'ils sont loin d'être des «réfugiés politiques». Grâce au déploiement de toute une panoplie de techniques de vérification (officiers de protection spécialisés, enquêtes, expertises de documents, entretiens poussés, etc.) l'Ofpra évitera de faire fausse piste en admettant ces dissimulateurs.