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Le Maroc, « source de mal » pour les dirigeants paranoïaques algériens et leur presse
Publié dans Barlamane le 09 - 04 - 2016

Comparer n'est pas raison. Mais pour nos voisins algériens (gouvernement et médias s'entend), ce proverbe ne leur dit rien, surtout lorsqu'il s'agit de pointer du doigt le Maroc, responsable de tous leurs maux politique, économique, culturel, religieux, autrement dit, leur cauchemar.
A peine achevée leur campagne hostile contre le Maroc au sujet du bras de fer entre Rabat et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, s'en voulant à mort aux français pour leur soutien au royaume, les voilà qu'ils récidivent avec la visite sur fonds de tension de Manuel Valls à Alger à partir de ce samedi. Avant même que ce dernier ne foule le sol algérien, les dirigeants de ce pays, par presse interposée, ont tenu à exprimer leur « irritation » et leur « mécontentement » deux sentiments devenus éternels face à tout ce qui touche de près ou de loin le royaume. Non contents du soutien affiché de Paris au Maroc dans le dossier du Sahara, du traitement privilégié réservé au Maroc en matière d'investissements, le cas de Renault, ils reviennent à la charge en estimant que leur pays a « mauvaise presse » en France, contrairement au Maroc.
Le raccourci choisi cette fois-ci, est la décision prise par au moins six médias français de boycotter la visite de Manuel Valls dans leur pays, en signe de solidarité avec les journalistes du Monde et Canal+ dont les autorités algériennes ont refusé d'accorder le visa.
Et bien évidemment, le Maroc ne peut pas ne pas être cité à titre de comparaison par certains médias comme TSA selon lequel, cette décision des médias français tranche avec leur attitude dans ces situations similaires. La dernière en date, selon ce site : l'expulsion la semaine dernière par le Maroc d'une équipe du Petit journal, suivie par celle d'un groupe d'avocats français venus discuter du sort d'une vingtaine de prisonniers sahraouis, détenus depuis 2013. Ces affaires ont eu de faibles échos dans la presse française et surtout aucune condamnation ni appel au boycott du Maroc, déplore TSA. Ce qui bien évidemment n'est pas vrai car le Maroc, lui aussi, en a eu pour son compte, à la différence près que les marocains croient en la liberté d'expression et de la presse.
Selon ce site d'information, la réaction des médias (français) est disproportionnée. Elle illustre à quel point l'Algérie à mauvaise presse en France et à quel point l'attaque est facile que de s'en prendre au Maroc ou à Israël par exemple. Au fil des années, une sorte d'algérophobie s'est développée en France. Et elle ne concerne pas uniquement la presse, conclut la même source.
A force de voir le mal partout chez leurs voisins de l'ouest, les dirigeants algériens et leurs porte-voix ont fini par développer une paranoïa grave, prélude à un « syndrome de la psychopathie et de la jalousie ». C'est pour cela qu'il sied de leur rappeler, encore et encore, que comparer n'est pas raison.


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