Le monde était vivant avec toi M'Hamed MEJTIA, il est désuet sans toi ! Le sens de toute chose est brisé ; tout a pris du creux, de l'inutile, du dédaléen, rien n'est plus comme avant, comme avec toi.
Tu es parti avant tout, avant que je ne puisse (...)
Ce soir j'écris sans me soucier de la portée de mes mots ou de leur exactitude. Je ne suis plus sûre de rien, j'écris par habitude de le faire dans ces moments d'incertitude. Ces moments où la condition humaine est tellement engluée dans la (...)
Je m'étais retrouvée à m'inquiéter encore et j'entendais les rumeurs dites à haute voix, ou pensées discrètement, qu'un dégoût profond a gagné tous les gosiers. Nous étions déjà les ennemis de nous-mêmes avec tout ce que nous portons de pessimisme (...)
La vie ne peut se caractériser que dans son phénomène d'usure qui amène à sa dégénérescence, à la mort. Aristote définit la vie comme étant « le fait de se nourrir, de croître, et de dépérir par soi-même » (De l'âme, II, 1). Il ajoute que la vie est (...)
Après «Le périple des hommes amoureux» (Casa Express, 2015), Jean Zaganiaris revient avec un nouveau roman «Un cœur marocain» publié aux éditions Marsam. A travers un homme cherchant la rédemption dans l'amour, l'auteur nous parle des difficultés à (...)