Jean Le Priellec, directeur du Sofitel Palais Jamaï vient, d'être décoré de la Médaille d'or du Tourisme. La cérémonie a eu lieu à l'hôtel même. Au nom de monsieur Dominique Perben, ministre de l'Equipement et des Transports et de monsieur Léon Bertrand, ministre délégué au Tourisme, madame Bariza Khiari sénateur de Paris, lui a remis cette distinction. La carrière de monsieur Le Priellec chez Accor débute en 1972, il occupe différents postes puis prend la direction du Novotel de Besançon en 1975. Il est ensuite, nommé directeur général à Carnac : le site comprend un centre de thalassothérapie et deux hôtels, soit 200 collaborateurs. A Dinard, il ouvre un autre centre de thalassothérapie. Les missions se succèdent pour prendre d'autres directions d'hôtels. En 1999, il rejoint le siège d'Accor pour prendre en charge l'intégration de la marque Mercure, cette charge le fait parcourir une partie du monde, suivant le développement de Mercure. A ce stade de sa carrière M. Le Priellec a acquis une solide compétence en exploitation directe ainsi qu'une meilleure connaissance du positionnement d'Accor, de son marketing dont le panel passe de l'hôtellerie économique aux palaces les plus prestigieux. Cette expérience le destine tout naturellement à l'International : Sofitel Sévilla puis le Novotel Miramar à la Havane, aujourd'hui le Sofitel Palais Jamaï. Ce Sofitel est parmi les hôtels-phare du groupe par son histoire, sa notoriété et son image de luxe. Pourquoi cette médaille d'or décernée par le ministre du Tourisme ? D'abord pour sa carrière mais surtout pour deux raisons essentielles : en matière de tourisme M. Le Prillec est un ambassadeur de la France, avec son savoir faire et son professionnalisme, il fait la promotion de son pays dans le monde. Ce «passeur» de savoir, de connaissances est un homme d'écoute et de dialogue car il sait qu'il n'y a de richesse que d'hommes. Il est aussi le symbole de la «méritocratie» républicaine. JLP a pris l'ascenseur social pour s'élever par son travail au poste qu'il occupe actuellement. La République sait reconnaître ses bons professionnels. • Source : wanadoo.ma