Il entame aussi le tournage d'un télé-feuilleton de Jihane El Bahar Cette mini-série télévisée intitulée «Salef Aadra» écrite par Ahmed Abouorwa est tournée dans la ville de Settat et les environs. Elle réunit en effet une brochette d'acteurs, à l'instar de Houda Sidki, Abdelahak Belmjahed, Amal Temar, Hajar Cherki et autres. Après son rôle bien marqué dans la production arabe inédite «El Zaaiman», le jeune acteur Rabii Kati fera son grand retour prochainement sur le petit écran. Il vient de terminer le tournage d'une mini-série télévisée intitulée «Salef Aadra» de la réalisatrice Jamila El Borji. «J'incarne le rôle principal de cette série historique prévue durant le mois sacré de Ramadan et sera diffusée sur Al Oula», confie Rabii Kati. Très attendue, cette série écrite par Ahmed Abouorwa est tournée dans la ville de Settat et les environs. Elle réunit en effet une brochette d'acteurs, à l'instar de Houda Sidki, Abdelahak Belmjahed, Amal Temar, Hajar Cherki et autres. «L'histoire de cette série se déroule dans les années 60 et 70. Elle met en scène une famille très attachée à la terre. Bref, c'est un récit de conflits entre le mal et le bien», dit-il. Et de poursuivre que «la série met en lumière l'art de l'Aïta à travers le personnage de Aadra». Outre cette série, l'acteur se prépare pour le tournage d'un nouveau télé-feuilleton intitulé «Echange» de Jihane El Bahar, composé de 30 épisodes. «On commence le tournage dans deux semaines. Dans ce travail, je joue l'un des rôles principaux. Il relate une histoire sociale qui évoque un sujet qui n'a jamais été abordé auparavant», indique-t-il. Par ailleurs, le public découvre l'acteur au cinéma à travers sa participation dans le film «Le dernier round», de Mohamed Fekrane. «J'attends avec patience la sortie de ce film reportée à cause du coronavirus. J'espère que les salles de cinéma rouvriront leurs portes prochainement», aspire-t-il. A ce sujet, l'acteur dit qu'il «faut penser à proposer au public un cinéma en ligne. Le monde est en plein changement. Il faut sérieusement réfléchir à des solutions dans ce sens». Acteur confirmé, Rabii Kati est lauréat de l'Institut supérieur du théâtre et de la promotion culturelle. Il a débuté sa carrière sur scène avec des rôles dans trois pièces en Europe, en Belgique et en France. Parallèlement, il a participé à plusieurs séries télévisées égyptiennes, marocaines et syriennes. Au cinéma national, il s'est démarqué par son premier rôle dans le film «Abwab Al Jenna» (Les Portes du Paradis), des frères Soheil et Emad Nouri, suivi d'un deuxième film du réalisateur Hassan Benjelloun «Fin Machi ya Moshé» (Où vas-tu Moshé ?). Son premier téléfilm a été «L'Arbre du Mausolée». De même, il s'est distingué dans les comédies marocaines «Road to Kabul» de Barhim Chkiri et «30 Melyoun» de Rabii Shajiid. L'acteur a des expériences importantes sur le plan arabe. Récemment, il s'est distingué par son rôle dans «Suleiman Bacha El Barouni», célèbre personnalité révolutionnaire libyenne, diffusée sur une chaîne libyenne Ramadan dernier. «Je suis très fier de participer à cette grande production arabe qui a été très appréciée par le public et par les critiques du cinéma. Je trouve que c'est une expérience très importante pour moi», conclut-il.