Une enseignante de quarante-trois ans a mis fin à sa vie par pendaison, chez elle, au quartier Annour, à Khemisset. Sa famille l'a découverte corps sans vie pendue à une corde accrochée au plafond de sa chambre à coucher. Ses proches ont révélé aux enquêteurs de la police judiciaire qui se sont dépêchés sur les lieux qu'elle souffrait d'une dépression après le décès de son père. A Azemmour, un jeune homme de vingt-et-un ans, qui demeure à la rue Hadja Rkia Jilalia, s'est également donné la mort en se jetant dans le vide depuis la terrasse de son domicile R+2. Le jeune désespéré était le gérant d'un café à Azemmour avant le confinement. Le mobile de son acte reste inconnu surtout que tous ses voisins et ses proches ont affirmé aux enquêteurs qu'il jouissait d'une bonne réputation et qu'il était plein d'humour. Les deux cadavres ont été évacués vers la morgue des hôpitaux provinciaux respectivement de Khemisset et d'El Jadida afin d'être autopsiés.