L'affaire dite de "vol d'armes" dans la caserne de Aïn Harouda dans la région de Casablanca a été trop exagérée. En fait, il s'agit de disparition de roquettes anti-char et non des missiles RPG comme cela a été écrit dans certains journaux. L'affaire dite de “vol d'armes“ dans la caserne de Aïn Harouda dans la région de Casablanca a été trop exagérée. En fait, il s'agit de disparition de roquettes anti-char et non des missiles RPG comme cela a été écrit dans certains journaux. Sans lance-roquettes appropriés, ces missiles ne valent pas grand-chose. Vraisemblablement, ces munitions ont été tirées lors de séances de tirs réglementaires, mais le responsable chargé de l'armement a omis de faire la mise à jour nécessaire dans les documents prévus à cet effet. Mais il n'en reste pas moins que l'affaire est sensible. D'ailleurs, une enquête a été ouverte pour tirer cette histoire au clair.