La CGEM tiendra la 1ère édition de son université d'été les 28 et 29 septembre sur le campus de l'ISCAE à Casablanca et constituera un moment fort pour le monde de l'entreprise. A travers cette université, la confédération entend mobiliser ses membres et jouer pleinement son rôle fédérateur des régions et fédérations professionnelles. Les chefs d'entreprises auront l'occasion de débattre et d'inviter les élites étatiques et intellectuelles à s'interroger sur les enjeux économiques et sociaux auxquels nous devons faire face et les solutions à apporter. Cette première édition se tiendra sous le thème «Une entreprise forte, un Maroc gagnant» et sera l'occasion pour la CGEM d'indiquer ses grandes orientations et ses programmes d'action, à l'heure où le Maroc a plus que jamais besoin d'un nouveau modèle de développement. Cette mutation nécessaire passe par le renforcement de l'entreprise marocaine et de la PME en particulier. Lors des séances plénières, des intervenants de renom, de différents horizons du monde économique, académique, social, politique et culturel, donneront un aperçu sur l'intensité des transformations en cours de notre environnement, aborderont les enjeux liés au monde de l'entrepreneuriat, du rapport aux instances étatiques, aux partenaires sociaux et aux consommateurs. L'université proposera également un ensemble d'ateliers, pistes de réflexion, traitant de sujets divers en rapport avec l'entreprise, le capital humain, l'évolution technologique, le nouveau rapport au travail, l'internationalisation ou encore la responsabilité sociétale. Cet évènement sera un espace de rencontres et de découvertes. Le campus sera aménagé autour de villages, d'espaces informels de débats et d'information sur des sujets aussi variés que l'innovation, les talents, l'offre publique, le financement, entre autres. Le choix de tenir l'université d'été dans un cadre universitaire est aussi un signal de la volonté de la CGEM de placer la jeunesse au cœur de ses programmes d'actions futures et d'affirmer la vocation de l'entreprise d'être un vecteur privilégié d'émancipation sociale.