L'établissement réserve un traitement responsable et conforme à la loi et ne peut mettre en danger la vie de l'un de ses pensionnaires. La délégation générale à l'Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a démenti les allégations selon lesquelles Nasser Zefzafi, incarcéré dans la prison locale Ain Sebaa 1 dans le cadre des événements d'Al Hoceima, aurait subi une injection d'une substance dolorigène. Il s'agit, ni plus ni moins, de «propos insensés montés de toute pièce, qui sont le pur produit de l'imagination débile des parties qui les ont colportés et commentés en même temps comme s'il s'agissait de faits réels», a indiqué la DGAPR dans un communiqué publié en réponse à ces allégations diffusées sur des réseaux sociaux. Contrairement aux pratiques et aux méthodes irresponsables adoptées par lesdites parties, qui prétendent prendre la défense de l'intéressé et des autres détenus poursuivis dans le cadre de la même affaire, l'administration de l'établissement réserve aux pensionnaires un traitement responsable et conforme à la loi et ne peut, en aucun cas, mettre en danger la vie de l'un de ses pensionnaires ni lui infliger un traitement qui va à l'encontre de la loi, assure la même source.