L'"association des victimes des violations des droits de l'Homme dans les prisons du Polisario" a appelé "certains dirigeants fondateurs du front Polisario sous la bannière de l'Espagne", notamment ceux qui sont de lignée authentiquement sahraouie marocaine des villes de Laâyoune et Dakhla, "à méditer sur l'histoire", à "ne pas persister dans l'erreur et à regagner leur pays, car la nation est clémente et miséricordieuse". L'"association des victimes des violations des droits de l'Homme dans les prisons du Polisario" a appelé "certains dirigeants fondateurs du front Polisario sous la bannière de l'Espagne", notamment ceux qui sont de lignée authentiquement sahraouie marocaine des villes de Laâyoune et Dakhla, "à méditer sur l'histoire", à "ne pas persister dans l'erreur et à regagner leur pays, car la nation est clémente et miséricordieuse". Dans un appel, l'association qualifie l'anniversaire de la création du soi-disant "Polisario", le 10 mai, d'évènement "douloureux, source d'humiliation pour les nobles sahraouis authentiques qui ont subi torture, massacres collectifs et emprisonnement en terre algérienne". L'association souligne, dans cet appel portant la signature de son président Dahi Kaï, que "le plus grave est de persister dans l'erreur" et que "les vertueux sont ceux qui reconnaissent leur tort".