C'est ce qui a été décidé jeudi 25 septembre 2014 lors d'une réunion du Conseil restreint de défense, consacrée notamment à «l'évolution de la menace que représentent le groupe terroriste Daech et les groupes qui se réclament de lui». Selon un communiqué de la présidence, «la France toute entière est en deuil après l'exécution barbare de notre compatriote Hervé Gourdel». ET d'ajouter : «ce crime ne saurait rester impuni». Le communiqué souligne aussi que «dans le cadre d'une coalition de plus en plus large, la France poursuivra son action en soutien des autorités irakiennes dans le cadre qui a été fixé afin d'affaiblir le groupe Daech et permettre le retour à la stabilité et à la sécurité dans le pays». «Elle poursuivra également et intensifiera son soutien aux forces de l'opposition syrienne qui combattent aujourd'hui les groupes jihadistes», a ajouté l'Elysée.