Il y a quelques mois Ahmed Ammor a été pris à parti, au complexe Mohammed V, par des supporters rajaouis surexcités et extrêmement surchauffés. Personne ne supporterait un tel affront et l'on avait, en son temps, défendu et dénoncé l'attitude belliqueuse de ces pseudo supporters. Il y a quelques mois Ahmed Ammor a été pris à parti, au complexe Mohammed V, par des supporters rajaouis surexcités et extrêmement surchauffés. Personne ne supporterait un tel affront et l'on avait, en son temps, défendu et dénoncé l'attitude belliqueuse de ces pseudo supporters. Le président du GNF, M'hamed Aouzal fut, lui aussi, victime de ces invectives publiques qui l'ont poussé à démissionner de ses fonctions fédérales. Là aussi, nous avons défendu la dignité de l'homme et avons condamné cette violence verbale dans nos stades, laquelle n'est malheureusement pas un phénomène nouveau. Il faut toutefois faire la part des choses et ne pas se servir de l'affaire Aouzal pour réveiller les démons d'une rivalité surdimensionnée. Il est hasardeux et dangereux de transformer une rivalité sportive en une animosité guerrière attisée par les susceptibilités à fleur de peau entre les dirigeants de deux clubs. Il y a quelques mois Ahmed Ammor a été pris à parti, au complexe Mohammed V, par des supporters rajaouis surexcités et extrêmement surchauffés. Personne ne supporterait un tel affront et l'on avait, en son temps, défendu et dénoncé l'attitude belliqueuse de ces pseudo supporters. Le communiqué du Raja qui apporte son soutien au président de son comité directeur, M'hamed Aouzal, a quelque peu viré de son objet. En évoquant, même dans le bon sens, la rivalité entre le Raja et le WAC, ce communiqué désigne implicitement Doublali comme étant responsable des malheurs d'Aouzal. Ce qui n'est pas vrai. Si le président du WAC a souvent critiqué la gestion du GNF, il n'a jamais évoqué nommément son président Aouzal. Encore faut-il préciser que Doublali a toute la latitude de disséquer les comptes d'une instance qui coiffe le championnat et les actes et les décisions de son président. La loi de la démocratie est ainsi faite pourvu que le débat ne touche pas la dignité de l'homme qu'il soit Aouzal ou autre. Il y a quelques mois Ahmed Ammor a été pris à parti, au complexe Mohammed V, par des supporters rajaouis surexcités et extrêmement surchauffés. Personne ne supporterait un tel affront et l'on avait, en son temps, défendu et dénoncé l'attitude belliqueuse de ces pseudo supporters. Ce qui gène aux entournures dans cette affaire c'est que l'on entretient des deux côtés la confusion entre, Aouzal le président du GNF et Aouzal le président du comité directeur du Raja. Pourtant c'est très simple pour peu que la logique ne soit pas travestie par les susceptibilités personnelles. Le président du WAC ne devrait aucunement traiter avec Aouzal du GNF comme étant président du comité directeur du Raja. Il y a quelques mois Ahmed Ammor a été pris à parti, au complexe Mohammed V, par des supporters rajaouis surexcités et extrêmement surchauffés. Personne ne supporterait un tel affront et l'on avait, en son temps, défendu et dénoncé l'attitude belliqueuse de ces pseudo supporters. D'autre part, le comité du Raja ne devrait pas considérer les critiques de Doublali à l'encontre du GNF comme visant directement la personne d'Aouzal, le Rajaoui. Il faut enterrer cette hâche de guerre car l'ennemi commun des dirigeants rajaouis et wydadis c'est la violence dans les stades. Autrement le football n'est qu'un sport qui engendre le plaisir et non pas la guerre.