Après la calembredaineduprésidentalgérien, par rapport à la question de la Palestine dont il a pondu des affabulations vite démentie par son homologue égyptien, une grossièreté qui ne dit pas son nom du même régimevient de faire le tour des réseaux sociaux. En effet, à laréunion ministérielle préparatoire au 9èmecongrès mondial de développementafricain de TokyoTICAD, la délégation algérienne s'est scindée en deux groupes dontun exécutant se chargeait de déposer une pancarte devant un individu censé « représenter » la présumée « république sahraouie », exactement ce qui est écrit sur ladite enseigne, furtivement mise sur la table de la réunion. Toutefois, l'éveil du cortège marocain déjouaitcette machination sordide qui fomentaitendiscrétion, de faireassisterl'entitéséparatiste.Le « resquilleur »fut rudoiement chassé de la rencontre, alors que leprésident nippondéploracette odieuse intrusion et réédita la non reconnaissance de ce ramassis factice. Même scénario de cette imposture s'est déjà produit à Tunis qui avait abrité cet événement Japon/Afrique, Sous les auspices des Nations-Unies, quand Kaïs Saïed s'était mis pernicieusement en connivenceen mèche avec le régime militariste de l'Algérie.Sans nulle vergognequ'un pays se permet ded'introduireson pantinfantoche à la dérobée dans une salle de réunion sans qu'il n'y soit convié ni même reconnu, de lui confectionner un écriteau et de se faire épingler par toute l'assistance indignée. « La magie se retourne sur le magicien ! », dit-on dans notre citation. La junte espérait une certaine reconnaissance à son guignol mais, elle s'est retrouvée en fin de compte, couverte de dérision et de honte, non seulement de l'audience présente, mais de tout le monde. Une humiliationsonnante qui s'ajoutera à la multitude de déconvenues qu'elle ne cesse d'essuyer au point de devenir un Etat répugnant par les bourdes cumulées par son président ringard et mythomane dans ses sorties médiatiques. Décidément, il ne se passe un jour dans qu'on n'en entende de sesbavureset bobards. Dorénavant, elle a beau esquiver les affrespressants de son peuple, les manœuvres évasives qu'elle tente en vain de perpétrer à l'encontre de notre pays finit par tomber à l'eau. Sous la conduite éclairée du Souverain, le Maroc poursuit son chemin de réformes, avec sérénité et vigilance, tout en mettant la question du Sahara au dessus de toutes préoccupations jusqu'à son règlement définitif.