Saoudi El Amalki Aujourd'hui, on largue l'ancre dans l'immense univers d'une femme exemplaire, née et faite pour ne respirer et n'expirer que du bien dans sa vie ! Abondamment magnanime, elle se fait valoir par ses actes de haut assistanat qu'elle ne cesse d'allouer sans compter aux démunis de sa bourgade à la banlieue d'Oulad Teïma et bien ailleurs. Zineb Kayouh, députée et vice-président à la région Souss Massa, est fière de se rendre utile et prête à servir la bonne cause, à s'acquitter de sa mission assignée et à combler les attentes de tout son entourage. Progéniture de l'une des figures allégoriques régionale voire nationale, feu l'haj Ali Kayouh, communément baptisé « Baba Ali », Zineb Kayouh tient de son auguste père, l'affabilité légendaire et l'aura iconique qui suscitent le respect et la considération de tout son cercle de multiples connaissances. Chevaleresque à tout rompre et charismatique à souhait, Zineb se fait toujours distinguer par l'omniprésence constante au poste qu'elle s'assigne avec amour et dévouement, s'investit cœur et âme dans l'action caritative au chevet des nécessiteux de tous bords, à tel point qu'elle s'érige dans les milieux précaires en véritable Mère Teresa, cette missionnaire albanaise, prix Nobel de la Paix en fin d'année 1979 dont l'humanisme dépasse toutes les frontières. En réelle prêcheuse de vertus cultuelles, Zineb se fait sienne toutes les bienveillances à volonté sans nul répit, pour s'accorder la bénédiction parentale de ses regrettés bien-aimés qu'elle eut perdus l'une après l'autre ( que leurs âmes reposent en paix ! ). Radieuse et pétillante aux éclats du petit matin, elle garde constamment le sourire de femme agissante et déterminée à produire de la noblesse partout où elle va et d'où elle vient. Elle ne sait faire que les belles choses dans la vie, sans jamais faillir ni fléchir, en cours de chemin vers les bonnes valeurs de l'humanisme entier. Profondément éprise de tact et de doigté dans ses attitudes raffinées, Zineb prend toute la peine de se conduire en parfaite locutrice, tout en veillant à préserver lettres de chevalerie auxquelles elle tient pour tout au monde. Fidèle à son parti dont elle ne cesse de puiser les idéaux du patriotisme du mouvement national de l'époque, Zineb y met de la dévotion de l'âme, de l'authenticité de l'intention et du volontarisme de l'action. Par ce comportement à la fois cristallin et opérant à outrance, elle réussit à conquérir les cœurs de ses compagnons et à forcer l'admiration de l'élite politique régionale. Pour elle, il n'y aura guère d'ennemis mais d'émules en politique, sans jamais verser dans la rivalité haineuse au terme de laquelle la querelle chronique finit par l'emporter sur la concorde pérenne. En fait, Zineb se résume en ces termes clés à savoir : tendresse, paix, bienfaisance, effort et passion ! En guise de reconnaissance de ses valeurs, on lui dédie ces vers du poète français Charles Baudelaire de son recueil « Les Fleurs du mal », traduisant un peu la conduite de la Grande Dame qu'elle est : Viens mon beau chat sur mon cœur amoureux Retiens les griffes de ta patte Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux Mêlés de métal et d'agate