Saoudi El Amalki La treizième édition du Salon du Cheval d'El Jadida vient de clore activités, en apothéose. Cette reprise en pompe, après la douloureuse crise virale, imprime à l'événement équestre de valeur socio-économique et patrimoniale à grande dimension, une notoriété certaine à la filière équine et assure une prépondérance à la région adoptive en termes de prospérité et de noblesse. Son attractivité singulière autour du cheval, en tant que créature pure, est en passe de performer la tendance haussière du secteur touristique. Les prestations variées en matière d'activités de récréation, de culture, d'art et de sport, draine une affluence accrue, de par cette diversité à tous les goûts. Tandis que les professionnels en ont également pour leur compte, à travers l'échange d'expertises et de novations autour de la chose hippique. De même, le cachet international lui acquiert une reconnaissance de plus en plus évidente, parmi les nations les plus huppées à cet égard. Cette année encore, le Salon du Cheval c'est 7 jours de show, 100 exposants, 35 nationalités, 1000 chevaux, 700 cavaliers, 600 journalistes et des centaines de milliers de visiteurs durant la période chaleureuse du Salon, savamment équipé et structure pour ce flux explosifs des foules. Dans ce sens, on citerait la présence du secteur de la conservation foncière, assurée avec brio Mustapha Mabrouk qui, par le biais de sa disponibilité et de son omniprésence en termes d'explication et d'orientation, a brillé de mille feux. Ce pavillon remarquablement pavoisé pour la circonstance, fut mis en valeur par le savoir-faire et le tact du technicien en question. Enfin, il faut bien dire que le Salon a surtout excellé par cette pléiade de cadres et de compétences, tel Mustapha Mabrouk.