Il fait mal au cœur d'entendre des médisances assassines qui tentent en vain, de descendre des actions constructives au sein d'une ville, en pleine grimpée. Pour quel agenda agit un certain «blogueur» qui tire plus vite que son ombre ? A quelle solde malveillante opère-t-il sans scrupule pour dénigrer ces merveilles qui poussent comme des champignons, au grand jour ? Tout un chacun, épris de citoyenneté et de bon sens ne peut que condamner vivement l'«internaute récidiviste» dont les intentions sont scabreuses à bien des égards. Pour une fois qu'une métropole agissante de la trempe d'Agadir, est en passe d'accéder à la cour des grands, voilà qu'un «activiste» se paie le luxe de renier vilement cet échafaudage auquel ne cesse de s'atteler une pléthore de bâtisseurs, sous l'égide du chef de file régional dont les mérites de cet éclaircie ne sont plus un secret pour personne. Vomir des niaiseries abjectes du genre de : «rien n'a été fait» dans cet élan resplendissant, relève de la cécité morale ou plus précisément, du négativisme béat que les partisans du progrès réprouvent avec énergie et civisme. Ce renégat véreux, mis au service des oligarques rétrogrades, ne saurait brider une vérité saillante que la plus Haute Autorité du pays aiguillonne en vue d'ériger la capitale du Souss en pôle de Centralisme du Royaume en effervescence. Les ennemis du succès ont bien la manie de se barboter dans les mares, tels des crapauds au coassement répugnant ! La refonte d'une cité métropolitaine comme Agadir, est avant tout une Volonté Royale et un relai engagé de tout un parterre de bonnes volontés que nul n'oserait enfreindre encore moins diffamer par des dégorgements odieux. Et ce n'est guère les ragots insidieux d'un bas chenapan qui entraverait la cavalcade menée à brides abattues pour enfanter un joyau dont rêvent des citoyens, au souvenir macabre des décombres du séisme et des déficiences des décennies funestes de sordide gouvernance. Ce «fou de la gâchette » aura beau s'égosiller à tue-tête sur tous les toits de l'espace virtuel, il ne pourrait nullement jouer les trouble-fêtes, au détriment de cette chevauchée galopante vers la réussite tant convoitée par une communauté longtemps frustrée. La tromperie qui impacte nombre de néophytes désabusés n'irait nulle part, tant que le train de la reconversion siffle dans les multiples arrêts du parcours de la ville. Seuls les récalcitrants ne monteront jamais dans ces compartiments, en réelle vadrouille aux près vermeils de la cité et finiront par se tortiller dans un trou pareil à des rats cracra, pour avoir quémandé des miettes crasseuses. Quelle bassesse !