J'ai dansé le tango, le paso, le boléro, la rumba et le cha cha cha et toutes ces danses à la papa dans les bals avant que les surprises-parties et les boîtes ne les ringardisent. Merci d'avoir rafraîchi ma mémoire défaillante. Vous m'avez rappelé toutes les boîtes de Casa. La Notte une des dernières, non loin du Pacha Club où je n'ai jamais mis les pieds. Mais l'Abreuvoir, le Zoom-Zoom, Le Balcon 33, le Calypso, les voilà les noms que je cherchais. Le Basin Street, également, où je ne suis allé qu'une fois ou deux. Je ne me souviens pas être allé au Sporting Club, ni au Rouge et le Noir, ni au Scotch Club, pas plus qu'au Rayon Vert. On ne peut pas être parfait… J'aimais bien les soirs d'été après «deux ou trois tours de côte», aller prendre un thé à la menthe dans les jardins du Sijilmassa, juste après le Tío Pepe et le Kon Tiki, en direction de Sidi Abderrahman. L'horchata de chufa, l'agua limón, les almendras kilométricas et les glaces de chez Oliveri me donnent l'eau à la bouche. Je veux bien aller prendre l'apéro au Roi de la Bière, du couscous au Tout va Bien et des brochettes au Rich Bar. Après nous irons en manger d'autres à Bouznika… Je suis mûr pour un séjour à Berechid chez les mabouls.