Mais quelle mouche a bien pu piquer notre voisin de l'est pour verser encore dans de tels égarements ? Décidément, la junte algéroise compte aller droit au mur, à vive allure, sans la moindre retenue. Elle n'a pas l'air de changer,à voir ses appétits tourner au vinaigre de toutes parts. Bien à contrario, elle continue à forcer le sort de sa déconvenue, tel un serpent étêté dont la queue persiste à s'ébrouer aux ultimes convulsions. Fort obstinément conquise par le chancre de la convoitise, elle va de bavure en bavure, au point de s'enliser dans la dérision totale. Qui goberait ses récents fakes news sur la zone sereine d'Al Mahbes, alors que tout le monde s'étonne et déplore ces viles allégations au grand jour? Qui croirait aux manœuvres désespérées d'un régime moribond dont le dé du changement est irréversiblement jeté ? Qui veut-il bien leurrer par ces tromperies qui ne font que se dissiper comme des feux d'artifice ? Le fameux homme d'Etat britannique, Winston Churchill, disait un jour : «Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu'il ne nous prenne par la gorge !». Il est bien clair que le changement s'est bel et bien installé dans la région, pareil à un python qui étouffe sa proie avant de l'engloutir !La soldatesque algérienne tente vainement de tromper le monde par ces fourberie qui n'ont plus aucun effet, tellement elles sont obsolètes et désuètes. Or, elle y tient toujours pour éluder l'opinion publique interne sur l'état critique de son pays, mais également et surtout pour essayer de glaner des miettes sur l'Atlantique qui lui fait séculairement rage ! Peine perdue, puisque le Maroc s'y installe le plus légitimement et sereinement du monde, conforté par le plébiscite universel dont il ne cesse de jouir, de par le déferlement copieux des reconnaissances, l'affluence solennelle des représentations consulaires et l'élan pompeux qu'il en tire en termes de retombées sociales et économiques de toutes ces opportunités. Ce ne serait nullement le fruit du hasard, loin s'en faut, mais, sans nul doute, la résultante d'une politique clairvoyante savamment conduite par le Souverain aussi bien sur l'échiquier africain que dans les rouages onusiens. En fait, pendant que les généraux algériens faisaient luire leurs galons pour se lancer dans un bellicisme béat, la monarchie marocaine, en parfaite harmonie avec son vaillant peuple, déblayaient le terrain et balisaient le chemin du développement tous azimuts. Aujourd'hui, l'Algérie a beau mentir et dissimuler la réalité sur la balustrade du média elle ne fait que se ridiculiser davantage sur toute la ligne. Ses gouvernants, après des ères marquées de folies des grandeurs, excitées par l'abondance pétrolière, sont actuellement pris par des airs d'entêtement et de perversion.Ils finiront par mordre de la poussière des guerres inventées de toutes pièces sur les frontières d'à côté par une hystérie médiatique mensongère.