La Star Afrofunk, Bantunani, se produit à Casablanca du 16 au 18 août, dans le cadre de la promotion de son nouvel album «Mookinjazz». Michel Nzau, fondateur du groupe Bantunani, est à Casablanca depuis peu pour promouvoir son nouvel opus «Mookinjazz ». Un joyau à découvrir avec beaucoup d'appétit. Plusieurs sonorités pour le plus grand plaisir des mélomanes et amoureux de la rumba, du jazz, de la pop musique et bien d'autres y figurent. On y retrouve des tubes comme "MoonKinJass", "Mystery", "Goodman", "Congomemory", "Give love" (…). Les choix musicaux de Bantunani sont nombreux. Le groupe surfe sur différentes sonorités et styles musicaux : Franco Likambo Ya Ngana, Bantunani Accousticfear (The Antéchrist), Sam Cooke A change is gonna come, Bantunani Wanderingmood (Death of à writer/tristesse de l'exil). «On côtoie volontiers la soul, la funk, la R&B ou l'afrobeat dans un univers où les guitares s'expriment entre allégresse et arrogance derrière des chœurs feutrés. A chaque seconde, la rumba natale peut faire irruption. Ecouter Bantunani suppose une liberté, une absence totale de frontières et un certain amour d'une musique humaine colorée de message humaniste», explique un de nos confrères. A titre de rappel, Michel Nzau est né en République démocratique du Congo le 15 mars 1975. Il arrive en Europe, plus précisément en France à l'âge de 4 ans. Passionné par la musique, il crée le groupe Bantunani quelques années plus tard. Pour l'auteur, Bantunani est avant tout une aventure, une ambition d'un individu qui se veut générer autour de soi, des artistes de plusieurs horizons afin de partager ensemble l'amour de la musique. L'artiste signe dès 2006 son premier contrat avec le label Ruestendhal. A cela s'ajoute, le prestigieux contrat avec les studios Davout. Il fait valoir son style sur plusieurs albums: Rumba Lounge, discovering nu rumba (2008), Africanization (2010), Acousticfear, crépuscule des idoles (2012), Intrigant rocknbe (2013), The Man by Michel Nzau (2014), Groovencio, an afropolitan diary (2016) et Musicalist (2018). Il débarque cette fois-ci avec MoonKinJazz. Un album enregistré entièrement en République démocratique du Congo à Kinshasa, mixé et masterisé à Londres, Chicago et New-York. Il entend faire découvrir, du 16 au 18 août, ce nouvel opus aux sonorités variées aux mélomanes de la ville blanche et de l'ensemble du royaume.