200.000 C'est le nombre de véhicules détenus par l'Etat (voitures particulières et utilitaires) non soumis à la visite technique. En réalité, il s'agit là de la totalité du parc exceptés les autres types de matériel roulants (engins de travaux publics, tracteurs, motocycles,...) qui, en raison, tenez-vous bien, de manque de budget, est dispensé du précieux sésame dont doivent en revanche disposer l'ensemble des conducteurs marocains. A noter que l'âge moyen des véhicules détenus par l'Etat est de 10 ans. Il dépasse les 17 années pour les véhicules détenus par les collectivités locales. Au diable la sécurité routière !
Dixit «D'abord le logement social ne se tasse pas partout. Il y a des endroits où nous connaissons une sorte de satisfaction de l'offre comme à Kénitra ou ailleurs...Nous avons réalisé une étude qui montre qu'un peu plus de 20% de la demande se situe autour du social à 250.000 dhs. Le 2e niveau de la demande se situe entre 250.000 et 450.00 dhs. Il est destiné aux classes moyennes inférieures. Le 3ème niveau est celui qui concerne les couches les plus défavorisées, donc un logement moins cher à 140.000 dhs. Le 4e niveau de la demande varie entre 450.000 et 950.000», Nabil Benabdellah, ministre de l'Aménagement du territoire de l'Urbanisme de l'Habitat et de la Politique de la ville.
Who's who Jalil Bennabès Taarji, Président de l'ANIT C'est un véritable coup de gueule, bien que politiquement correct, que Jalil Bennabès Taârjia adressé la semaine passée aux responsables politiques chargés du tourisme. L'ancien président de la Fédération nationale du tourisme, à la tête de l'Association nationale des investisseurs touristiques (ANIT) depuis juillet 2016, tire à boulets rouge sur l'ancien Exécutif car pour lui, le gouvernement Benkirane n'a rien fait pour le secteur et tance tout en rondeur l'actuel duo en charge du tourisme. « En nous basant sur les déclarations fortes et répétées de nos deux ministres et compte tenu du potentiel quasi intact du secteur, nous sommes rassurés. Sincèrement. Maintenant restent les actes », glisse celui qui est aussi DG du groupe hôtelier Tikida. Soumayya Douieb