Il aura fallu huit jours de négociations à Genève entre la délégation du régime de Damas et celle de la Coalition nationale syrienne (CNS), pour qu'elles se terminent sur un échec cuisant renvoyant la paix en Syrie à plus tard, jusqu'à ce que deux obstacles soient levés : la définition du statut du président Bachar al Assad dans le futur gouvernement national de transition et l'assainissement du pays des groupes terroristes d'obédience Al-Qaïda, soutenus et financés par des fonds étrangers, selon les officiels syriens.