La campagne électorale du Parti du progrès et du socialisme pour les Législatives du 25 novembre 2011 bat son plein. Les membres du Bureau politique, Secrétaire général en tête, les candidats et les militants à divers niveaux de responsabilité sont fortement mobilisés pour défendre les couleurs du «Livre» et «La dignité maintenant», mot d'ordre à l'adresse des citoyens. Une intense activité a été menée, un peu partout dans les 89 circonscriptions où le PPS est candidat. Nabil Benbdallah est présent au premier plan, dans au moins deux circonscriptions par jour. Du vendredi à dimanche, il a fait de multiples déplacements pour soutenir les candidats du «Livre». Vendredi, il était à El Jadida et à Sidi Bennour, dans la matinée, et samedi à Benslimane et Casa-Anfa. Hier, il devait continuer avec les candidats et les militants de Hay Hassani et d'Aïn Sbaâa. Il avait inauguré cette série de contacts directs avec les citoyens, mardi en allant dans les circonscriptions électorales de Derb Soltane-Al Fida et de Hay Moulay Rachid, dans la capitale économique, suivis le lendemain par un déplacement au Gharb qui l'avait mené, successivement, à Sidi Slimane, où Ismaïl Alaoui, président du Conseil de la présidence du PPS, est candidat. Parallèlement, les dirigeants du PPS sont montés au créneau d'autres régions, en pilotant la liste nationale de la femme et des jeunes et en soutenant les candidats de «La dignité» à travers le pays. Les ministres Nouha Skalli et Khalid Naciri, membres du Bureau politique du Parti, sont de la partie et se déploient tant à Casablanca que dans la région de la Chaouia et Tadla-Azilal. Les dirigeantes et dirigeants de la liste nationale sont également présents et actifs dans les 16 régions du pays où ils mènent une campagne sereine aux côtés des candidats du Parti. Les anciens militants sont aussi mobilisés pour prêter main forte aux jeunes candidats du PPS, sachant qu'ils représentent plus de la moitié de ses candidats, essentiellement composés de cadres et de compétences. Les tournées de proximité permettent aux candidats d'entrer en contact et de discuter avec les citoyens dans leurs quartiers. Le PPS axe sa campagne sur l'appel des citoyens à participer massivement au scrutin législatif. C'est une nécessité absolue pour déranger les barons des élections qui tablent sur une forte abstention afin de faire réélire, en maîtrisant le corps électoral fait de clientélisme. Le PPS insiste pour dire que les jeunes et les citoyens ne doivent pas laisser la voie libre à ceux qui, à chaque consultation électorale, promettent monts et merveilles sans tenir ne serait-ce que quelques promesses qui ne nécessitent aucun effort financier… En allant voter, répètent les militants du Parti, l'étau se resserre autour des dépravateurs et fausse leurs calcules. Et puis, le citoyen ne doit rester retranché sur «une abstention» qui se justifiait partiellement avant l'adoption de la nouvelle Constitution et les acquis qu'elle a générés. La responsabilité citoyenne est engagée, en cette veillée d'élections, sous peine que les urnes ne dégagent que les mêmes dépravateurs. La conscience citoyenne devra sanctionner tous ceux qui ont les mains sales et se servent sans servir ceux qui leur confient une noble mission, malheureusement souvent trahie. Le discours du PPS reste clair à ce sujet et, tout naturellellement, privilégie un vote responsable pour le changement dont ses candidats sont porteurs. Cette fidélité au changement, tant durant les longues années de l'opposition que lors de la responsabilité gouvernementale du PPS, est sans faille. Aujourd'hui, le Parti a une nouvelle image auprès de la population, reste connu pour son sérieux et sa serénité et jouit d'un grand capital confiance que certains nouveaux candidats découvrent, lors des contacts directs avec les électeurs. Le Secrétaire général du PPS, comme ses pairs de la direction du Parti et les candidats, développent l'idée que les élections du 25 novembre prochain constituent un véritable tournant que les citoyens, soucieux de réaliser des avancées démocratiques et le progrès social, se doivent de saisir. Aucun démocrate ne devra rester en marge du scrutin pour contribuer au changement, à la modernité et au progrès social. Chaque voix comptera et ceux qui n'iront pas aux bureaux de vote auront tort et ne pourront pas, demain, continuer à se plaindre des mauvaises pratiques électorales. Commençons alors par une bonne pratique citoyenne et allons aux urnes, comme le clament, haut et fort, Les militants du PPS dans les diverses marches à l'écoute des citoyens lesquels sont invités à faire confiance aux candidats du «Livre» pour le changement, la dignité et le progrès.