Aujourd'hui, mercredi, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution à la majorité des Etats membres, dont le Maroc, appelant les pays à ne pas reconnaître les quatre régions d'Ukraine revendiquées par la Russie, à la suite des soi-disant référendums tenus à la fin du mois dernier. 143 pays ont voté en faveur de la résolution, dont le Royaume du Maroc, tandis que cinq pays (Biélorussie, Russie, Syrie, Nicaragua et République populaire démocratique de Corée) ont voté contre, tandis que 35 se sont abstenus, selon le site officiel des Nations Unies. Le projet de résolution intitulé « L'intégrité territoriale de l'Ukraine : défendre les principes de la Charte des Nations Unies » a été présenté lors de la onzième session extraordinaire d'urgence de l'Assemblée générale après l'échec du Conseil de sécurité, le 30 septembre, à adopter une résolution visant à condamner les référendums qui ont précédé la déclaration par Moscou l'annexion de Lougansk, Donetsk, Kherson et Zaporijia. 143 pays ont voté en faveur de la résolution, dont le Royaume du Maroc, tandis que cinq pays (Biélorussie, Russie, Syrie, Nicaragua et République populaire démocratique de Corée) ont voté contre, tandis que 35 se sont abstenus, selon le site officiel de la Les Nations Unies. Le projet de résolution intitulé « L'intégrité territoriale de l'Ukraine : défendre les principes de la Charte des Nations Unies » a été présenté lors de la onzième session extraordinaire d'urgence de l'Assemblée générale après l'échec du Conseil de sécurité, le 30 septembre, à adopter une résolution visant à condamner la Fédération de Russie référendums qui ont précédé la déclaration par Moscou de l'annexion de Lougansk Donetsk, Kherson et Zaporijia. La résolution appelle les Nations Unies et les agences internationales à ne pas reconnaître les changements annoncés par la Russie aux frontières, et demande à Moscou de « revenir immédiatement et sans condition » sur ses décisions. La Russie avait opposé son veto à un projet de résolution similaire, qui considérait les référendums des 23 et 27 septembre comme illégaux et ne constituait la base d'aucune modification du statut de ces régions en Ukraine, y compris d'une prétendue annexion par la Russie.