après une attaque par balles. Des coups de feu ont été tirés vendredi sur l'ancien Premier ministre japonais Shinzo Abe lors d'un rassemblement électoral à Nara. Il avait été emmené à l'hôpital dans un état critique. Plusieurs dirigeants mondiaux ont réagi avec consternation à l'attaque contre l'ancien Premier ministre japonais, Shinzo Abe. Charles Michel, président du Conseil européen, s'est dit vendredi « choqué et attristé » par cette « attaque lâche ». Il a décrit Abe comme un « véritable ami et un ardent défenseur de l'ordre multilatéral et des valeurs démocratiques ». « L'UE se tient aux côtés du peuple japonais et du (Premier ministre) Fumio Kishida en ces temps difficiles », a déclaré M. Michel sur Twitter. « Je suis stupéfait et attristé par l'attaque méprisable contre Shinzo Abe. Mes pensées vont à sa famille et à ses proches », a déclaré le Premier ministre britannique sortant Boris Johnson. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen s'est également exprimée sur Twitter. « Nos pensées et nos prières vont à votre famille et au peuple japonais. » Le président français Emmanuel Macron a déclaré vendredi qu'il était « profondément choqué par l'attaque odieuse ». « La France se tient aux côtés du peuple japonais », a ajouté Macron dans un tweet, adressant ses « pensées à la famille et aux proches d'un grand Premier ministre ». Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a quant à lui déclaré que les Etats-Unis étaient « très préoccupés » par cette tentative d'assassinat. « C'est un moment très, très triste », a déclaré Blinken. « Nos pensées et nos prières vont vers lui, sa famille et le peuple japonais ». La Russie a dénoncé vendredi « un crime monstrueux » et un « acte de terrorisme », après l'attaque qui a visé l'ancien Premier ministre japonais Shinzo Abe. « Nous sommes convaincus que ceux qui ont conçu et commis ce crime monstrueux seront dûment punis pour cet acte de terrorisme qui n'a et ne peut avoir aucune justification », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Le Premier ministre indien Narendra Modi s'est également dit « profondément choqué ». Il a appelé Abe un « ami cher ». La Chine a affirmé qu'elle suit la situation de près