Des Winners absents et qui finalement retrouvent le virage Frimija. Des murs fort colorés du célèbre slogan « Akram Irhal » (il parait que ces graffitis ont touché même l'Europe et l'Amérique). Un groupe de dirigeants manquant d'homogénéité cherchant même dans la scission. Des adhérents de retour et qui hurlent de leur octroyer leurs cartes d'adhésion. Talib qui ne termine pas l'an, des sponsors qui viennent et partent au gré des dimanches; Attachbib et puis retour à la case départ...Ce Wydad là qui voulait marcher à la ...pigeon, beaucoup trouvent que « l'oie », s'il arrive à annoncer correctement son « wac ouac », c'est beaucoup mieux. Un commandant ! Akram parait dans une phase très critique et l'on craint pour le Titanic. « Oui, on paye les conséquences de ces assemblées générales cocote-minute et aussi ce choix d'entraîneurs qui ne répondent pas à la renommée du grand WAC », Rachid Ben Driss de la génération qui ont vu le Wydad remporter avec brio le championnat 92, n'admet pas et ne comprend pas comment ce Wydad est tombé si bas pour se faire bloquer par un Kawkab retranché en défense. Oui, le KACM est dans son droit de construire le mur de Berlin mais c'est à Hassan Nader, Lakhouil et Ben Abicha (staff technique) et aussi aux Fabrice, Evouna et Asbahi de trouver les bonnes ou au moins cette bonne petite solution libératrice. Des joueurs qui font la différence à l'égard d'un Moussa N'Daw ou un Bobley Anderson vendu dernièrement aux Espagnols de Malaga, ce genre de joueurs stars, star au vrai sens du mot, manque terriblement chez le groupe des Rouges. Un Wydad sans une nouvelle stratégie de développement, réconciliation, feuille de route, communion de toutes les forces; ça va rester à l'état actuel, pourtant, une place de champion conduit directement au Mundialito, un rendez-vous riche sur le plan financier, notoriété et rayonnement. Vivement, un bon chauffeur (coach) et place à une suite d'événements heureux, réconciliables ouvrant les portes de lendemains meilleurs.