Avec la boxe, ce sport olympique avait placé quelques candidats nationaux sur le haut du podium africain, arabe et aussi parfois sur le plan international. Une discipline sportive très clean. C'est vrai, on n'est pas la Chine ou la France et si l'on va chercher dans les causes. Elles sont nombreuses à commencer par l'infrastructure sportive en manque de salles adéquates, travail d'approche, vulgarisation, formation, clubs en difficulté financière, gestion, nombre de licenciés limité, différencier entre le sport de masse ou d'élite, adoption de la formule sport et études pour les plus brillants, judo féminin... Un bilan chez l'équipe à l'ex président Chniouer; il y a eu des hauts et des ...ippons et d'ailleurs chez la famille des judokas, rien ne leur échappe de diagnostiquer entre les points forts comme les entraves à tout développement souhaité. Une page tournée, on va directement aux urnes (samedi 5/1/2013) et c'est un moyen démocratique pour mettre les hommes (liste du comité directeur) appelés à réanimer cette discipline sportive olympique, populaire et clean à la fois. D'ailleurs, dans ce contexte, professeur Chafik Kettani nous a souvent révélé son projet de mise à niveau, un programme doublé de plans à court, moyen et long terme. « Je suis pour un travail de groupe, un travail collégial et c'est qui fera incha Allah notre force. Un président, il doit être fédérateur et à l'écoute de tous. Nos clubs, on les soutiendra corps et âme ». Un programme qui répond à la réalité Marocaine. Chafik Kettani, docteur et professeur de médecine, en plus de ce profil qui fait honneur à la famille du judo, plusieurs dirigeants, nous ont rappelé les qualités de bonne famille de ce candidat qu'ils ont porté et soutenu pour une place à la présidence. Un candidat homme de terrain (pratiquant), gestionnaire, disponible et bosseur. Un sang nouveau apporté au judo national, quelque soit l'heureux élu, Chafik est catégorique : « Yes we can ».