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Télégramme
Publié dans L'opinion le 11 - 09 - 2012

L'Etat serait le premier fabricant des retards, au point de vue délai de paiement. Le premier avec le privé qui vient juste après avec des factures qui traînent dans les fonds de tiroirs. Des entreprises privées au bord de la faillite, à cause des retards de paiements, sont prêtes à déposer les clés, sans prendre le soin d'indemniser le personnel. Alors que dans le secteur public, on continue à pavoiser sans menace de fermeture.
En attendant, retenons ce qu'il faut savoir sur la disposition d'ordre public :
« La pénalité de retard est exigible à l'expiration du délai de paiement convenu. Pour verrouiller le dispositif, aucune formalité préalable n'est prévue. Mieux encore, le législateur a fait de l'exigence des pénalités de retard une disposition d'ordre public. En clair, à supposer que les contractants prévoient une clause de renonciation aux pénalités de retard, cette disposition n'aura aucun effet juridique. Le fournisseur est tenu de réclamer son dû, assorti des pénalités de retard ». stop.
D'après le journal algérien « El Watan », une grave crise de main- d'œuvre menace l'agriculture algérienne. Alors que le Maroc - « El Watan » ne le dit pas - dispose d'une immense main-d'œuvre prête à mettre la main dans le bouillis si les frontières étaient ouvertes ou entr' ouvertes.
Lecture : « Des centaines d'hectares de pommes de terre et de tomates risquent de se voir délaissés sans que la récolte soit faite, faute de main-d'œuvre. C'est la nouvelle menace, et non des moindres, à laquelle fait face l'agriculture algérienne qui tente, depuis quelques années déjà, de reprendre du poil de la bête. Cette menace s'est fait ressentir depuis déjà deux à trois années, mais elle a redoublé d'intensité depuis 2010, date de l'apparition des premiers signaux d'une véritable crise de main-d'œuvre dans le secteur de l'agriculture ».
Que le pays du Père Clément qui a inventé la clémentine se souvienne que, de tous temps, les Marocains ont toujours travaillé dans la Mitidja et les Aurès. Bien avant le dossier du Sahara que rêvent de visiter Yvon et Barbara pour le surf à Dakhla et les bains de sable à Smara, des travailleurs marocains partaient travailler dans les champs de l'Oranie et même dans la Kabylie. Le car de la CTM faisait Casa-Alger-Tunis sans même s'attarder aux postes frontières. stop.
Partout, on lit et on entend « Grand coup de filet de la police à Casablanca, un autre à Fès ou à Inzegane ». Alors qu'il s'agit d'opérations de ratissage de routine où sont arrêtées des personnes pour différents crimes et délits. Pour celui qui débarque et lit les journaux, le pays serait menacé par la pègre et la lèpre des bas-fonds. stop.
Google croit rénover en rappelant aux internautes leur date d'anniversaire. « Innovation » déjà vue chez les chefs du personnel consciencieux qui souhaitent un happy birthday à Fatouma ou à Shirley, dans les boîtes qui se respectent.
Google, en mélangeant depuis quelques semaines les serviettes et les torchons, a brisé l'élan de son empire qui passe du coq à l'âne. Si elle veut séduire les gouvernements de Cotonou ou d'Addis Abeba, qu'elle veut situer sur le même plan que les capitales occidentales, c'est inopportun et raté. Google avait un style et un ton presque neutre, voilà qu'elle pédale dans le riz et le couscous en se creusant les méninges. Google vient de signer son propre acte de décès. stop.
Le gardien de voitures renversé devant l'hôtel de l'ex-Casino de Témara fait parler de lui dans le coin. La version officielle est contestée par des observateurs qui ont assisté à la scène. Ce n'est pas la première fois qu'on détourne la vérité dans la région où des accidents sont revus et corrigés par des rapports qui attirent la suspicion. Il y a quelque temps déjà, la mort d'un cerbère dans une boîte louche, où la coc se ramasse à la louche, avait fait grand bruit. Décidément. stop.
Toujours à Témara, il y a des endroits bien gérés qui font honneur à la localité qui a toujours évoqué le bien-être et la joie de vivre. Comme le Panorama tenu par le doyen de l'hôtellerie de la région. Si Larbi qui tient à garder une certaine ligne de conduite avec une piscine propre où les clients passent sous la douche avant de plonger dans l'eau bleue azur. Les endroits bien gérés se comptent sur le bout des doigts. Une remarque pour San Francisco dont les eaux ne reflètent pas la ville chantée par Scott Mackenzie, une chanson qui a le mieux illustré la contre-culture.
Enfin, le Miramar dispose de la terrasse de cet été 2012 où les clients amateurs de crépuscule, le vrai, sont de plus en plus nombreux. Quant à la Felouke, elle n'a pas changé de look depuis les seventies... stop.
La chaîne Ibis gagne du terrain parce qu'elle a compris qu'il faut un minimum de confort pour la classe moyenne qui se déplace maintenant en voiture de tourisme, paie ses factures par carte et zappe ses programmes après la fin du monopole des 3 gros... Cristian Rousseau qui n'est pas aussi candide que celui de l'écrivain suisse.
Bien qu'il soit un peu tôt pour en tirer des conclusions, il y a lieu de souligner que la clientèle d'affaires se développe bien.
De même, pendant la période estivale (en dehors du Ramadan), les hôtels affichaient complet, principalement par la clientèle de loisirs domestiques. C'est donc très encourageant car les deux segments de clientèle devraient contribuer positivement à la performance des hôtels Ibis Budget. stop.
Le stationnement sur la route des Zaërs est toujours interdit dans la journée pour le malheur du commerce qui voit sa clientèle s'amenuiser à cause des clients qui ont peur des contraventions.
De la pharmacie à l'agence de la RAM en passant par les restaurants jusqu'aux pâtisseries et aux écoles privées. Excédés, des commerçants menacent de faire grève. Car, comme disent les ricains : «No parking, no business».
Les autorités rétorquent que les automobilistes occupent la piste des deux roues, mais il faut dire que vélos et motos n'empruntent pas la voie destinée pour eux, ce qui est, d'ailleurs, aberrant.
Maintenant, l'Avenue Mohammed VI, qui a retrouvé un prestige indéniable avec des enseignes de renommée, ressemble à une ville déserte où même le triporteur de la Strada n'a plus le droit de s'arrêter. C'est triste et ça tue l'activité commerciale. stop.


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