Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
Déterminés à poursuivre les réformes et à réaliser les grands chantiers sous la conduite de SM le Roi M. Abbas El Fassi, lors d'une rencontre avec les secrétaires de sections de l'Organisation de la Femmes Istiqlalienne:
Pour une politique de proximité dans le traitement des problèmes sociaux des citoyens La femme marocaine est fortement présente dans tous les secteurs mais se distingue, en particulier, dans l'action associative L'Organisation de la femme istiqlalienne (OFI) a tenu récemment, au siège du parti à Rabat, une séance de travail avec les secrétaires de sections de ladite organisation au cours de laquelle il a été procédé à l'examen des questions d'ordre organisationnel et divers autres sujets ainsi qu'au renouvellement des sections. Cette rencontre a été surtout marquée par l'allocution d'orientation du secrétaire général du PI, M . Abbas El Fassi, et celle de Mme Naima Khaldoun, présidente de l'OFI et membre du comité exécutif du parti. M. El Fassi a ainsi salué le rôle d'avant garde de l'OFI aux niveaux tant de l'encadrement politique que de la formation et de la diffusion de la culture parmi les femmes istiqlaliennes et de la gent féminine marocaine en général, rappelant à ce sujet que le PI était, depuis sa naissance, le premier à avoir veillé à promouvoir la femme et à consacrer l'égalité des sexes à travers la reconnaissance de l'autre et le droit de chacun à des opportunités et des chances égales. Dès sa création, ajoute-t-il, notre parti a tenu à ce que la femme soit représentée dans tous ses rouages et institutions, car elle s'est de son côté impliquée très tôt dans la lutte du Mouvement national et le combat du Maroc pour l'indépendance et l'émancipation vis-à-vis du colonialisme. Cette femme qui s'est formée et forgée dans l'école du Mouvement national et du PI est celle-là même qui milite aujourd'hui, avec force et abnégation, pour la réussite et l'aboutissement de la marche pour le développement social et qui, se faisant, participe aux côtés de l'homme, à l'édification du Maroc démocratique et celui des grands chantiers en vue de relever les défis du progrès tant politique qu'économique et social. M. El Fassi a également tenu à souligner, à cette occasion, l'importance du tournant que constitua dans l'histoire du Maroc l'adoption du quota permettant ainsi à la femme de faire entendre sa voix et d'affirmer sa présence dans la vie politique et publique et le rôle déterminant du PI dans l'adoption de ce mécanisme qui restera comme une étape transitoire ayant ouvert la voie à une participation massive et effective de la femme à la vie publique, puisque dès son congrès de 1981/82, le parti a inscrit dans son programme et ses statuts la nécessité de réserver un quota des sièges aux femmes en attendant que la société soit assez mûre pour admettre une parfaite égalité des genres et que la femme peut très bien (de par ses qualités intrinsèques et ses compétences) participer efficacement et utilement à la gestion de la chose publique sans que, pour autant, elle n'en soit redevable à personne ; c'est alors que nous pourrons nous passer du quota qui, s'il est nécessaire actuellement pour des raisons objectives et eu égard à des contraintes sociales qui font que la société n'est pas encore prête à placer entièrement et spontanément sa confiance en la femme, ni à croire en ses compétences et ses ressources propres du fait de certains partis-pris et croyances encore tenaces, nous n'en croyons pas moins au PI que ce système est une option transitoire en attendant que la situation soit propice et que la société admette enfin le principe de la parité et de l'égalité homme/femme et que, donc, cette dernière puisse atteindre, par elle-même, des résultats égaux sinon supérieurs à ceux de l'homme. Evoquant ensuite quelques unes des étapes marquantes du mouvement féminin marocain, M. El Fassi a estimé que le Code de la famille (la nouvelle Moudawana) demeure une étape majeure de ce processus pour avoir permis à la femme et à la famille d'être désormais au centre d'intérêt de tous et constituer un document de référence pour toute communauté désireuse de construire des cellules familiales fortes et homogènes où la femme est partie prenante jouissant de la liberté et de l'égalité en droits comme en devoirs avec l'homme. Il a, par ailleurs, relevé que la présence de sept femmes au sein du gouvernement qu'il dirige lors de la formation de ce cabinet, est un record sans précédent dans les annales du Maroc tout en espérant que cette participation perdurera et se renforcera à l'avenir dans un pays parfaitement égalitaire et fier de tous ses enfants, hommes et femmes sans discrimination aucune. Pour ce qui est du volet social, le S/G du parti a hautement salué l'implication de la femme principalement dans l'action associative et l'éducation, domaine dans lequel elle a fait preuve d'efficacité et de savoir-faire et où elle s'est illustrée mieux que l'homme, ajoutant qu'au demeurant la femme marocaine s'est particulièrement distinguée dans divers autres domaines et métiers qu'il s'agisse de la gestion d'entreprise, de la banque, de la justice, etc. mais qu'elle a surtout réalisé des choses extraordinaires dans des secteurs sociaux vitaux tels l'enseignement et la santé regrettant, toutefois, que si le taux de scolarisation a atteint les 100 % en milieu urbain, il n'est que de 40 à 60 % en milieu rural tant pour les filles que pour les garçons et ce, malgré son caractère obligatoire, ce qui a amené le gouvernement à décider une aide (financières) et autres encouragements à la scolarisation en milieu rural. La femme, poursuit M. El Fassi est fortement présente aussi dans le secteur de la santé, au même titre que l'homme, même si certaines contraintes dues à l'éloignement, l'isolement ou à l'accès difficile à certaines zones gênent le travail normal et le rendement optimal de ce secteur. Aussi, a-t-on pris certaines mesures et décisions en vue de permettre aux habitants de ces régions d'accéder aux soins , en particulier, aux femmes enceintes et de promouvoir la santé procréative afin de réduire la mortalité néonatale et celle des nourrissons dont le taux reste élevé au Maroc. Devant ce constat, ajoute M. El Fassi, le gouvernement a décidé d'allouer une prime de 700 Dhs aux hommes et aux femmes travaillant dans ces deux secteurs en vue d'encourager la scolarisation et de rapprocher davantage les prestations de santé des citoyens et adopté des mesures en faveur des femmes enceintes en les prenant totalement en charge dans les hôpitaux dans le but d'améliorer la santé de la mère et du nouveau-né. De même et afin de renseigner objectivement la femme au sujet de l'action gouvernementale, A. El Fassi a indiqué que le Maroc, contrairement à nombre de pays européens et africains, a pu faire face et résister à la récente crise économique mondiale rappelant que malgré que cette dépression ait commencé en 2008, s'est poursuivie en 2009 et dont les retombées négatives planent encore sur l'exercice 2010, le Maroc a pu achever le premier exercice avec un taux de croissance de 5,6 % (alors que l'Algérie n'a pas dépassé les 2 % en dépit de l'abondance de gaz et du pétrole) et le second avec 5,1 %. Vous n'ignorer pas non plus, continue le S/G du parti s'adressant aux femmes présentes à cette rencontre, l'ampleur des grands chantiers en cours de réalisation dans toutes les régions du pays sans exception, tels le port de Tanger-Méditerranée, la mise à niveau des villes…ou l'habitat qui connaît une croissance sans précédent puisqu'il va passé de 30.000 unités dans le passé à 100.000 logements sociaux. Idem pour le tourisme où nous passons de 2 millions de touristes il y a dix ans à 8,8 millions actuellement et ce en dépit du fait que nous n'ayons pas atteint l'objectif de 10 millions de visiteurs en 2010 pour cause de crise économique et financière mondiale. Il a indiqué à ce sujet qu'il n'est pas de département ou de secteur qui n'ait des projets ou une stratégie en cours d'exécution, citant à titre d'exemple, le Plan azur dans le domaine du tourisme, le Plan vert dans celui de l'agriculture, l'engagement de l'Etat dans le programme de promotion de l'artisanat à l'horizon 2015 en particulier en ce qui concerne le tapis marocain dont la qualité et la commercialisation ont connu un certain recul ces dernières années, avec une enveloppe de trois milliards Dhs. S'agissant des grands chantiers, poursuit M. El Fassi, nous devons être fiers des efforts consentis pour l'agrandissement des aéroports et des ports, du réseau routier et auto-routier, des voies de communication en milieu rural dont la cadence est passée de 500 km à 1500 km/an actuellement, aussi bien que dans les domaines de la généralisation de l'accès à l'eau potable ou de l'électrification des campagnes dont le taux de couverture est de respectivement 85 et 90 % aujourd'hui. En revanche, explique-t-il, les secteurs qui ont plus ou moins pâti de la crise mondiale, ce sont les investissements (extérieurs), l'industrie automobile, les transferts des MRE et même là, les causes du recul sont imputables davantage aux répercussions de la crise sur nos partenaires européens qu'à une quelconque contre performance de l'économie nationale. Nonobstant tout cela, l'on enregistre un certain regain d'activité et un reprise des transfert des MRE relève M. El Fassi avant de conclure que le Maroc d'aujourd'hui est un vaste et gigantesque chantier où sont menés de front de grands travaux et de profondes réformes grâce au dynamisme et aux efforts soutenus du gouvernement à tous les niveaux et dans les divers domaines et dont le mérite revient, en définitive à SM le Roi Mohammed VI, initiateur des réformes par excellence et promoteur des grands projets, ce qui naturellement a balisé la voie devant l'équipe gouvernementale et aidé cette dernière à aller de l'avant et à engranger les bons résultats ainsi qu'en atteste la progression de tous les indicateurs qu'ils soient économiques, sociaux ou politiques en dépit de la crise régionale et internationale ce dont nous nous servons de stimulant pour aller toujours de l'avant sous la conduite de SM le Roi. L'Organisation de la femme istiqlalienne (OFI) a tenu récemment, au siège du parti à Rabat, une séance de travail avec les secrétaires de sections de ladite organisation au cours de laquelle il a été procédé à l'examen des questions d'ordre organisationnel et divers autres sujets ainsi qu'au renouvellement des sections. Cette rencontre a été surtout marquée par l'allocution d'orientation du secrétaire général du PI, M . Abbas El Fassi, et celle de Mme Naima Khaldoun, présidente de l'OFI et membre du comité exécutif du parti. M. El Fassi a ainsi salué le rôle d'avant garde de l'OFI aux niveaux tant de l'encadrement politique que de la formation et de la diffusion de la culture parmi les femmes istiqlaliennes et de la gent féminine marocaine en général, rappelant à ce sujet que le PI était, depuis sa naissance, le premier à avoir veillé à promouvoir la femme et à consacrer l'égalité des sexes à travers la reconnaissance de l'autre et le droit de chacun à des opportunités et des chances égales. Dès sa création, ajoute-t-il, notre parti a tenu à ce que la femme soit représentée dans tous ses rouages et institutions, car elle s'est de son côté impliquée très tôt dans la lutte du Mouvement national et le combat du Maroc pour l'indépendance et l'émancipation vis-à-vis du colonialisme. Cette femme qui s'est formée et forgée dans l'école du Mouvement national et du PI est celle-là même qui milite aujourd'hui, avec force et abnégation, pour la réussite et l'aboutissement de la marche pour le développement social et qui, se faisant, participe aux côtés de l'homme, à l'édification du Maroc démocratique et celui des grands chantiers en vue de relever les défis du progrès tant politique qu'économique et social. M. El Fassi a également tenu à souligner, à cette occasion, l'importance du tournant que constitua dans l'histoire du Maroc l'adoption du quota permettant ainsi à la femme de faire entendre sa voix et d'affirmer sa présence dans la vie politique et publique et le rôle déterminant du PI dans l'adoption de ce mécanisme qui restera comme une étape transitoire ayant ouvert la voie à une participation massive et effective de la femme à la vie publique, puisque dès son congrès de 1981/82, le parti a inscrit dans son programme et ses statuts la nécessité de réserver un quota des sièges aux femmes en attendant que la société soit assez mûre pour admettre une parfaite égalité des genres et que la femme peut très bien (de par ses qualités intrinsèques et ses compétences) participer efficacement et utilement à la gestion de la chose publique sans que, pour autant, elle n'en soit redevable à personne ; c'est alors que nous pourrons nous passer du quota qui, s'il est nécessaire actuellement pour des raisons objectives et eu égard à des contraintes sociales qui font que la société n'est pas encore prête à placer entièrement et spontanément sa confiance en la femme, ni à croire en ses compétences et ses ressources propres du fait de certains partis-pris et croyances encore tenaces, nous n'en croyons pas moins au PI que ce système est une option transitoire en attendant que la situation soit propice et que la société admette enfin le principe de la parité et de l'égalité homme/femme et que, donc, cette dernière puisse atteindre, par elle-même, des résultats égaux sinon supérieurs à ceux de l'homme. Evoquant ensuite quelques unes des étapes marquantes du mouvement féminin marocain, M. El Fassi a estimé que le Code de la famille (la nouvelle Moudawana) demeure une étape majeure de ce processus pour avoir permis à la femme et à la famille d'être désormais au centre d'intérêt de tous et constituer un document de référence pour toute communauté désireuse de construire des cellules familiales fortes et homogènes où la femme est partie prenante jouissant de la liberté et de l'égalité en droits comme en devoirs avec l'homme. Il a, par ailleurs, relevé que la présence de sept femmes au sein du gouvernement qu'il dirige lors de la formation de ce cabinet, est un record sans précédent dans les annales du Maroc tout en espérant que cette participation perdurera et se renforcera à l'avenir dans un pays parfaitement égalitaire et fier de tous ses enfants, hommes et femmes sans discrimination aucune. Pour ce qui est du volet social, le S/G du parti a hautement salué l'implication de la femme principalement dans l'action associative et l'éducation, domaine dans lequel elle a fait preuve d'efficacité et de savoir-faire et où elle s'est illustrée mieux que l'homme, ajoutant qu'au demeurant la femme marocaine s'est particulièrement distinguée dans divers autres domaines et métiers qu'il s'agisse de la gestion d'entreprise, de la banque, de la justice, etc. mais qu'elle a surtout réalisé des choses extraordinaires dans des secteurs sociaux vitaux tels l'enseignement et la santé regrettant, toutefois, que si le taux de scolarisation a atteint les 100 % en milieu urbain, il n'est que de 40 à 60 % en milieu rural tant pour les filles que pour les garçons et ce, malgré son caractère obligatoire, ce qui a amené le gouvernement à décider une aide (financières) et autres encouragements à la scolarisation en milieu rural. La femme, poursuit M. El Fassi est fortement présente aussi dans le secteur de la santé, au même titre que l'homme, même si certaines contraintes dues à l'éloignement, l'isolement ou à l'accès difficile à certaines zones gênent le travail normal et le rendement optimal de ce secteur. Aussi, a-t-on pris certaines mesures et décisions en vue de permettre aux habitants de ces régions d'accéder aux soins , en particulier, aux femmes enceintes et de promouvoir la santé procréative afin de réduire la mortalité néonatale et celle des nourrissons dont le taux reste élevé au Maroc. Devant ce constat, ajoute M. El Fassi, le gouvernement a décidé d'allouer une prime de 700 Dhs aux hommes et aux femmes travaillant dans ces deux secteurs en vue d'encourager la scolarisation et de rapprocher davantage les prestations de santé des citoyens et adopté des mesures en faveur des femmes enceintes en les prenant totalement en charge dans les hôpitaux dans le but d'améliorer la santé de la mère et du nouveau-né. De même et afin de renseigner objectivement la femme au sujet de l'action gouvernementale, A. El Fassi a indiqué que le Maroc, contrairement à nombre de pays européens et africains, a pu faire face et résister à la récente crise économique mondiale rappelant que malgré que cette dépression ait commencé en 2008, s'est poursuivie en 2009 et dont les retombées négatives planent encore sur l'exercice 2010, le Maroc a pu achever le premier exercice avec un taux de croissance de 5,6 % (alors que l'Algérie n'a pas dépassé les 2 % en dépit de l'abondance de gaz et du pétrole) et le second avec 5,1 %. Vous n'ignorer pas non plus, continue le S/G du parti s'adressant aux femmes présentes à cette rencontre, l'ampleur des grands chantiers en cours de réalisation dans toutes les régions du pays sans exception, tels le port de Tanger-Méditerranée, la mise à niveau des villes…ou l'habitat qui connaît une croissance sans précédent puisqu'il va passé de 30.000 unités dans le passé à 100.000 logements sociaux. Idem pour le tourisme où nous passons de 2 millions de touristes il y a dix ans à 8,8 millions actuellement et ce en dépit du fait que nous n'ayons pas atteint l'objectif de 10 millions de visiteurs en 2010 pour cause de crise économique et financière mondiale. Il a indiqué à ce sujet qu'il n'est pas de département ou de secteur qui n'ait des projets ou une stratégie en cours d'exécution, citant à titre d'exemple, le Plan azur dans le domaine du tourisme, le Plan vert dans celui de l'agriculture, l'engagement de l'Etat dans le programme de promotion de l'artisanat à l'horizon 2015 en particulier en ce qui concerne le tapis marocain dont la qualité et la commercialisation ont connu un certain recul ces dernières années, avec une enveloppe de trois milliards Dhs. S'agissant des grands chantiers, poursuit M. El Fassi, nous devons être fiers des efforts consentis pour l'agrandissement des aéroports et des ports, du réseau routier et auto-routier, des voies de communication en milieu rural dont la cadence est passée de 500 km à 1500 km/an actuellement, aussi bien que dans les domaines de la généralisation de l'accès à l'eau potable ou de l'électrification des campagnes dont le taux de couverture est de respectivement 85 et 90 % aujourd'hui. En revanche, explique-t-il, les secteurs qui ont plus ou moins pâti de la crise mondiale, ce sont les investissements (extérieurs), l'industrie automobile, les transferts des MRE et même là, les causes du recul sont imputables davantage aux répercussions de la crise sur nos partenaires européens qu'à une quelconque contre performance de l'économie nationale. Nonobstant tout cela, l'on enregistre un certain regain d'activité et un reprise des transfert des MRE relève M. El Fassi avant de conclure que le Maroc d'aujourd'hui est un vaste et gigantesque chantier où sont menés de front de grands travaux et de profondes réformes grâce au dynamisme et aux efforts soutenus du gouvernement à tous les niveaux et dans les divers domaines et dont le mérite revient, en définitive à SM le Roi Mohammed VI, initiateur des réformes par excellence et promoteur des grands projets, ce qui naturellement a balisé la voie devant l'équipe gouvernementale et aidé cette dernière à aller de l'avant et à engranger les bons résultats ainsi qu'en atteste la progression de tous les indicateurs qu'ils soient économiques, sociaux ou politiques en dépit de la crise régionale et internationale ce dont nous nous servons de stimulant pour aller toujours de l'avant sous la conduite de SM le Roi.