La pression monte sur le gouvernement qui est censé trouver un accord avec les partenaires sociaux au sujet de la loi sur le droit de grève avant la fin de la présente session parlementaire. Le ministre de tutelle, Younes Sekkouri, est appelé à pousser les syndicats et le patronat vers un compromis. En dépit des commentaires rassurants du ministre lors de son dernier passage au Parlement, cette tâche s'annonce ardue dans la mesure où chacun campe sur ses positions. Entre-temps, l'Exécutif mène discrètement une autre bataille sur le front de la réforme des retraites, dont la complexité est telle que des arbitrages difficiles s'imposent. Retrouvez l'intégralité de l'article dans le prochain numéro de "L'Opinion".