L'agriculture nationale subit de plein fouet la succession d'années de sécheresse, ce qui impacte sa production et tire les prix vers le haut. La production de dattes ne déroge pas à cette règle, puisque les oasis voient leurs réserves de nappes phréatiques dégringoler. Malgré les efforts du Plan Maroc Vert, la production locale ne couvre pas la demande. Pour garantir un approvisionnement suffisant et des prix abordables, le marché marocain dépend des importations tunisiennes, algériennes ou encore égyptiennes. Côté marocain, le ministère travaille sur des nouvelles méthodes pour promouvoir la production dattière, très gourmande en eau. La généralisation du goutte-à-goutte ou l'introduction de nouvelles espèces sont en train d'être réalisées afin d'améliorer l'efficacité de l'utilisation de l'eau dans les oasis. Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du Jeudi 1er Février 2024, disponible en kiosque.