Rien ne va plus dans cette fringante formation rajaouie qui venait une semaine de ramener les 3 points du Harti et même, selon radio médina, un… singe. Mauvais sort (touchons le bois). Attaba le keeper est… récidiviste : un ballon lâché à Marrakech, la gaffe se répèta à Casa et bonjour les dégâts. Oui, le football tient à rien et c'est ce rien qui va mettre 30.000 spectateurs en colère. Nous n'allons pas condamner le Khouribgui et mettre toute la déroute du groupe RCA sur son dos. Des «trous» existent et il faudrait au chef mécanicien, Romao, de chercher la… fuite. Masloub est à son 3ème carton rouge en ce début de saison (c'est trop). Moutouali devient lourd sur son couloir droit et passe… inaperçu si ce n'est de «provoquer» le public. Des mécanismes qu'on croyait au point avec le joker, Sir Dia. Le buteur du GNFE2, Salhi; la touche du Maâlem, Omar Nejjari. Non, le moteur rajaoui cale et seul un Oulhaj et de temps à autre, le latéral droit Belakhdar, ne peuvent démarrer la machine. Le Raja sur 4 fronts, n'oublions pas qu'il y a le Sétif dans 10 jours et aussi cette Ligue des Champions qui n'accepte dans ses rangs que les élèves BAC + 5. Le test DHJ (1/1) remet en cause la politique actuelle du RCA Un recrutement dans l'immédiat d'un gardien de but de grande expérience, retour souhaité de Jrindou, assainissement et mise en disponibilité de pièces de rechange d'origine (Belmaâlem apprendra le métier), moins de vedettariat. Le Raja doit profiter de la trêve «Equipe Nationale» pour apporter une bouffée d'oxygène à ses milliers de supporters. Boussairi et compagnie, rappelez-vous la pétition 2008.