Malgré les réformes mises en place pour améliorer le secteur de l'enseignement supérieur, les lacunes persistent. C'est la conclusion qui ressort de l'intervention du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, lors de son passage, lundi, à la Chambre des Représentants. Pénurie de ressources humaines, manque de financement, décrochage universitaire... les défis à surmonter sont de taille, selon Akhannouch, qui promet de prendre à bras le corps ces problèmes, «dans le cadre de la vision stratégique préparée par l'Exécutif au cours de sa première année au pouvoir». Le gouvernement compte s'attaquer au problème des ressources humaines en premier, du fait que près de 2200 enseignants prendront leur retraite en 2026.
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