Le devoir d'informer surtout envers un confrère, nous oblige de poser des questions à Oussama Ben Abdellah sur le comment du pourquoi. Il ne s'est pas dérobé et déclare « Je répondrai à toutes les questions et même à une interview ». Sur les attaques qu'il subit dans la presse : Je sais pourquoi on m'attaque, car j'ai fini par comprendre le processus des choses et je connais les lobbies ». Est-ce pour les avoir pratiqués ? Non, mais je les côtoie tous les jours, maintenant pour tout dire, la seule attaque sur un journal, qui n'ait fait mal, c'est celle de Mustapha Badri dans « Al Mountakhab ». Maintenant je défie quiconque publiquement d'amener la preuve d'un seul centime que j'aurai gagné depuis que je suis à Moustawdaâ. Ce qui se passe au MAS m'est toujours attribué. Changement d'entraîneur ou transfert de joueurs. Mais allez interroger les joueurs et les intéressés, ils vous diront ce qu'il en est. Maintenant ce que peut dire l'ex-président du MAS Benouhoud, je le mets sur le compte de l'aigreur née de son départ du club. Je le répète et insiste là-dessus je suis net. Quant à Badri on s'est expliqué lorsque Alami (directeur d'Ar-Ryadiah) nous a réuni chez lui ». Et l'examen d'agent FIFA ? Je l'ai passé en tant que journaliste et mon dossier a été accepté par la fédé. N'est-ce pas incompatible ? Non, la FIFA interdit aux dirigeants d'exercer le métier d'agents, mais journaliste on peut. Admettons, reste la question d'éthique Qu'on ne vienne surtout pas me parler d'éthique dans ce domaine mis à part de très rares éléments, personne n'a le droit de donner des leçons ». Et ce que je fais à Moustaoudaâ, je le fais de tout mon cœur avec passion. Je ne fais rien d'autre et surtout pas d'affaires sur le dos de l'émission ».