Retard, manquement à la parole donnée et surtout fins de mois difficiles constituent actuellement le lot des acquéreurs en question. De nombreuses familles ayant pensé pouvoir emménager dans leurs nouvelles demeures selon les délais convenus, se sont retrouvés «plantés» depuis plus d'une année maintenant, par leur promoteur immobilier commun, General Contractor-Maroc. Organisée en association ces personnes ont réclamé à la firme mais également à l'Etat que soient prises toutes les mesures nécessaires pour leur permettre de récupérer au plus vite ce pour quoi elles avaient contracté des crédits et payés toutes ces traites. Une demande approuvée et largement soutenue par le groupe Al Omrane (propriétaire des terrains sur lesquels General Contractor-Maroc a décidé de bâtir ces habitations) qui parle déjà de recourir à la justice en cas de besoin