Abu Wael Al-Rifi consacre la dernière partie de ses confessions dominicales de ce dimanche aux vraies raisons de l'hostilité pathologique dont souffrent les dirigeants algériens envers le Maroc. L'auteur des confessions dominicales commence son analyse en soulignant que le Maroc n'est certes pas un paradis, mais ce n'est pas non plus un enfer comme veulent le faire croire certains galonnés algériens. L'analyste confie son grand étonnement lorsqu'il venait d'apprendre que la Tunisie se trouve, 10 ans après sa révolution, en situation d'attendre un don de 50000 doses de vaccin contre le nouveau coronavirus de la part de l'Organisation mondiale de la santé pour pouvoir protéger ses médecins et infirmiers et qu'elle est en tête d'une liste de 92 pays attendant une telle donation. En parallèle, poursuit Abu Wael, l'Algérie ne figure même pas dans les notes de l'OMS relatives aux pays devant commencer une campagne de vaccination de leur population. Or, précise-t-il, en deux semaines, le Maroc a dépassé le million et 250 mille bénéficiaires de la vaccination, au moment où une superpuissance de la taille de la France n'a pas dépassé le seuil de deux millions, deux mois après avoir le lancement de la vaccination dans ce pays. Il précise aussi que le Royaume figure dans le top 5 des pays vaccinateurs, après Israël, la Grande-Bretagne, l'Amérique et le Chili. Revenant à l'Algérie, Abu Wael lance cette grande question : savez-vous maintenant pourquoi le régime militaire algérien est déboussolé et a perdu son sang-froid à l'encontre du Maroc ? Sa réponse : ce sont les avancées réalisées par le Royaume qui font perdre la tête au pouvoir algérien. L'auteur des confessions dominicales s'arrête sur le retour du président Tebboune, vendredi soir, après plus d'un mois d'absence. Il souligne que les Algériens attendaient de voir leur président marcher normalement après son opération chirurgicale, mais ils ont été surpris de voir le piètre état de leur président face au général Chengriha. Une image révélatrice, pour Wael Al-Rifi, de l'incapacité du président à garder son pouvoir ne serait-ce que sur la rue adjacente à son bureau au palais El Mouradia. L'analyse révèle les règlements de compte qui font rage autour du palais présidentiel et la volonté de certains galonnés à faire diversion en ordonnant au Polisario de créer un casus belli avec le Maroc. Or, poursuit-il, le Polisario avec son maigrichon contingent d'à peine 3000 miliciens est incapable d'effectuer le moindre geste face aux forces marocaines stationnées dans le sud. C'est ce qui contraint les miliciens et leurs donneurs d'ordre à recourir à une ridicule guerre médiatique. Pour conclure, Abou Wael affrime que le régime militaire algérien a beau provoquer le Maroc, il peine à cacher sa faillite totale et la perte totale de sa légitimité aux yeux du peuple algérien. Lire l'analyse intégrale بوح الأحد