Les Algériens ne se le cachaient pas, l'objectif premier était de garder les 3 points en Algérie et tous les moyens étaient bons pour atteindre cet objectif, Ils y sont parvenus, non pas en pratiquant un beau football à domicile mais bien grace à un arbitrage très favorable pour ne pas dire totalement au service des Fennecs. Les ânes savent-il siffler ? Tous les lions et même la presse neutre s'ingurgent contre l'arbitrage du trio Mauricien, l'avis est unanime pour reconnaitre la partialité et le partie pris de ce trio arbitral dirigé par le trisite célebre Seechurn Rajindraparsad. Flash back sur les agissements de cet arbitre qui sévit en Afrique avec la bénédiction de la commission Africaine de l'arbitrage qui a bien besoin de ce genre d'arbitres pour fausser le déroulement de certains matchs. Le samedi 6 septembre 2009, à 22 heures au complexe olympique Mustapha Tchakers de Blida en Algérie, les Fennecs d'Algérie affrontaient les Chipolopolo Boys de Zambie pour le compte de la 4e journée des éliminatoires jumelées Can-coupe du monde 2010. Le juge central désigné par la Confédération africaine de Football (Caf) pour officier cette rencontre capitale n'est autre que le mauricien Seechurn Rajindraparsad. 23 heures. Les Fennecs l'emportent dans la douleur et le doute sur un score final de 1-0. Dimanche le 7 septembre 2009. La presse égyptienne et la fédération égyptienne de football monte au créneau pour fustiger la légèreté et la désinvolture avec lesquelles Seechurn Rajindraparsad a officié. L'Egypte et l'Algérie étant dans le même groupe C. Selon le site goalfmradio.com le 8 septembre 2009 « la fédération égyptienne de football songeait sérieusement à porter plainte auprès de la FIFA pour dénoncer l'arbitrage jugé catastrophique et très soupçonneux de l'arbitre mauricien lors de ce match. Pour preuve, Seechurn a invalidé un but valable des Zambiens, il a refusé de brandir le carton rouge contre un joueur algérien… » Les animateurs de ce site internet s'étaient demandé les véritables raisons de la désignation d'un tel arbitre pour une importante rencontre. Et de conclure en accusant le président de la fédération algérienne de football, M. Raouraoua d'avoir choisi lui-même cet arbitre, se fondant sur la bonne relation qui le liait au président de la FIFA, Joseph Blatter. A la lumière de cette information et au regard de la rencontre Algérie-Zambie, il est clairement établi que l'arbitre mauricien a fait preuve d'une partialité incroyable. D'où, d'ailleurs, les Egyptienne s'étaient demandé comment et pourquoi cet arbitre avait été désigné pour diriger cette rencontre d'envergure. Que dire alors de la prestation de Seechurn Rajindraparsad lors du match Gabon-Togo ? La presse gabonaise pense que ce dernier était à la fois le juge et la partie. Car elle ne comprend pas comment il a été le seul à ne pas voir les deux fautes flagrantes en plaine surface de réparation togolaise. Il n'a pas pu prendre les bonnes décisions face aux multiples agressions physiques que faisaient subir les joueurs togolais aux joueurs gabonais. Pour exemple le joueur togolais qui sauvagement agressé le capitaine des panthères Daniel Cousin, n'a même pas écopé d'un simple carton jaune dans le l'objectif de tempérer les ardeurs belliqueuses des joueurs togolais. Autant de fais, qui poussent à réellement croire que l'arbitre mauricien Rajindraparsad était à la solde de … Car au terme de la rencontre victorieuse des Panthères sur les Eperviers du Togo (3-0) en juin 2009, une togolaise venue de Lomé pour la circonstance avait juré que l'arbitre qui devait être désigné pour le match retour aurait la « barbe mouillée ».