Logés dans le groupe C avec le Gabon, les Aigles du Mali et le Maroc, le onze ivoirien qui a terminé pratiquement à genoux lors de sa dernière sortie face à une génération ‘'biberon'' du Mali, sait qu'il n'a pas droit à une quelconque négociation sur ses propres installations pour cette finale de ce groupe face aux onze chérifien. Pour le technicien belge des Eléphants de Côte d'Ivoire dont les performances sont très peu flatteuses depuis sa prise de fonction à la tête de l'encadrement technique des pachydermes, seule une victoire, ce samedi 11 novembre 2017, pourrait raccommoder l'histoire de son arrivée en Côte d'Ivoire et le public sportif ivoirien. Si l'ancien capitaine des "Diables rouges" peut se réjouir de la présence de quelques cadres du sacre de Malabo 2015, il devra cependant se résoudre à combler des vides de tailles, notamment dans sa charnière centrale en son animation offensive en l'absence d'Eric Bertrand Bailly suspendu et Séri Jean Michael forfait pour cause de blessure. Sauf changement de dernière minute, on connait à un degré moindre les hommes sur qui le technicien belge pourrait s'appuyer pour construire son équipe type. Serey Dié, Doukouré Cheick en récupérateurs avec Maïga Habib pour orienter le jeu. Serges Aurier est sûr d'occuper son couloir de prédilection tandis que le couloir droit pourrait bien être l'affaire de Bagayoko Mamadou qui effectue son retour en sélection. Aux vues des dernières combinaisons effectuées, Bertrand Eric Bailly absent dans l'axe, la paire Franck Kessié-Wilfried Kanon pourrait être la bonne option pour Wilmots. Avec Sylvain Gbohouo dans les buts, l'attaque ne serait plus que l'affaire du trio Gervinho–Kodja–Gradel. Mais ce ne sont la que des probabilités devant une équipe marocaine qui sait qu'il faut un tout petit nul pour valider son ticket pour la Russie. Hervé Renard ne cache pas ses ambitions de créer l'exploit en terre ivoirienne. Et le technicien français a les moyens de ruiner toute participation de la Côte d'Ivoire à un quatrième mondial consécutif. De Boufal, Boussoufa, Youness Benhanda en passant par Nabil Dirar, Boutaïb et autres Hamza Mendyl, Renard a battu le rappel de ses troupes. Les Eléphants ont obligation de remporter le duel face aux lions de l'Atlas, s'ils veulent voir la Russie en juin prochain. Pour le technicien belge des Eléphants de Côte d'Ivoire dont les performances sont très peu flatteuses depuis sa prise de fonction à la tête de l'encadrement technique des pachydermes, seule une victoire, ce samedi 11 novembre 2017, pourrait raccommoder l'histoire de son arrivée en Côte d'Ivoire et le public sportif ivoirien. Si l'ancien capitaine des "Diables rouges" peut se réjouir de la présence de quelques cadres du sacre de Malabo 2015, il devra cependant se résoudre à combler des vides de tailles, notamment dans sa charnière centrale en son animation offensive en l'absence d'Eric Bertrand Bailly suspendu et Séri Jean Michael forfait pour cause de blessure. Sauf changement de dernière minute, on connait à un degré moindre les hommes sur qui le technicien belge pourrait s'appuyer pour construire son équipe type. Serey Dié, Doukouré Cheick en récupérateurs avec Maïga Habib pour orienter le jeu. Serges Aurier est sûr d'occuper son couloir de prédilection tandis que le couloir droit pourrait bien être l'affaire de Bagayoko Mamadou qui effectue son retour en sélection. Aux vues des dernières combinaisons effectuées, Bertrand Eric Bailly absent dans l'axe, la paire Franck Kessié-Wilfried Kanon pourrait être la bonne option pour Wilmots. Avec Sylvain Gbohouo dans les buts, l'attaque ne serait plus que l'affaire du trio Gervinho–Kodja–Gradel. Mais ce ne sont la que des probabilités devant une équipe marocaine qui sait qu'il faut un tout petit nul pour valider son ticket pour la Russie. Hervé Renard ne cache pas ses ambitions de créer l'exploit en terre ivoirienne. Et le technicien français a les moyens de ruiner toute participation de la Côte d'Ivoire à un quatrième mondial consécutif. De Boufal, Boussoufa, Youness Benhanda en passant par Nabil Dirar, Boutaïb et autres Hamza Mendyl, Renard a battu le rappel de ses troupes. Les Eléphants ont obligation de remporter le duel face aux lions de l'Atlas, s'ils veulent voir la Russie en juin prochain.