Trop de passions tue l'objectivité et c'est ce qu'on peut regretter chez les commentateurs arabophones de BeIn Sport à l'image du Marocain, Jaouad Badda, qui se contredit 10.000 fois en une seule rencontre des Lions passant de la critique hâtive à l'éloge démesurée en l'espace d'un but. Comme nous ne sommes pas sur BeIn, nous pouvons donc dire ce que l'on pense de notre Jaouad Badda national que j'ai invité à la fermer au moins une centaine de fois (qu'il me pardonne) pendant le match du Maroc contre le Togo. Avec ce commentateur Marocain, le taux d'insuline grimpe en flèche, lui qui n'a pas ménagé le jeune Hamza Mendyl en début de rencontre car l'estimant responsable sur le but encaissé après quelques minutes de jeu. Mais en fin de partie, il n'a cessé de faire son éloge et de lui lancer des fleurs en lui promettant une carrière glorieuse. De même pour Boussoufa qu'il suppliait, voire sommait de ne pas jouer les centres. M'enfin monsieur Badda, un peu de retenu !! Que dire de toutes les pensées négatives et du doute qu'il véhicule sans parler du défaitisme qui se dégage de ses propos !! Mr Badda, vous rendez diabétique à vous seul, vous ne véhiculez que stress et pessimisme, il faut raison gardée et passion limitée, il en va de votre crédibilité... En revanche, "Mention très bien" pour le commentateur Algérien, Hafid Derradji qui place son objectivité avant sa passion. Ceci dit, sur BeIn, lorsqu'un consultant de passage, en l'occurrence le journaliste Marocain, Jamal Stéfi, se permet de porter des critiques à l'égard des commentateurs de la chaîne Qatarie, il subit la foudre du présentateur Tunisien El khelssi, qui, soucieux de garder son poste, lui impose directement le silence en l'empêchant de développer son idée.