Le ministère de l'Intérieur soupçonne un soutien étranger à ces groupes qui refusent de plier aux réglementations en vigueur. Ces leaders Ultras insistent pour que leurs organisations restent en dehors des dispositions légales. Selon les premières investigations menées par le ministère de l'intérieur, il en ressort que ces factions des Ultras se sont tournés vers une carrière à plein temps pour beaucoup d'entre eux qui ont acquis des biens sans pour autant disposer d'un travail ou d'un emploi stable avec un revenu stable.