Le Maroc est ferme là-dessus : il n'est pas question de laisser sans suite et sans réponse les sentiments d'indignation et de colère» suscités par l'affaire Skah. Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la coopération, «les personnes impliquées dans la sortie illégale de ses enfants du Maroc, doivent répondre de leur acte devant la Justice. Et d'assurer : «Notre opinion publique nationale a le droit de savoir toute la vérité et nous commande par conséquent de ne pas tourner la page de cette affaire aussi longtemps que les demandes et les attentes légitimes du Maroc ne sont pas satisfaites»