Sit-in des enseignants-chercheurs le 19 Le syndicat démocratique de l'enseignement supérieur du Maroc (SDESM) a dévoilé ses cartes mercredi à Rabat. Ses membres demandent l'indépendance de l'université, ainsi que la révision du statut des enseignants-chercheurs de même que le renforcement de la politique de la recherche scientifique. En marge de cette rencontre, le SDESM a annoncé l'organisation d'un sit-in, le 19 février, devant le siège du ministère de tutelle à Rabat pour défendre ses revendications. Une université marocaine à Abu Dhabi L'Université Mohammed V Rabat-Agdal (UM5A) et le Conseil de l'enseignement d'Abu Dhabi (ADEC) ont signé, vendredi à Rabat, une convention pour la création d'une annexe de l'UM5A à l'émirat d'Abu Dhabi. Dans un premier temps, l'annexe de l'université assurera une formation en matière d'études islamiques. Le président de l'UM5A, Hafid Boutaleb Joutei, a affirmé que la convention vise le renforcement des relations bilatérales et des échanges d'expériences, notamment en matière de formation universitaire. Le projet est entièrement financé par le gouvernement d'Abu Dhabi. Les greffes d'organes divisent l'opinion Réunis jeudi à Fès dans le cadre d'une journée scientifique, plusieurs professionnels de la santé, de oulémas, de juristes et d'intellectuels, ont appelé au développement de la recherche pluridisciplinaire en matière de greffe d'organes humains. C'est à Dieu, le créateur, que revient la propriété du cadavre, a affirmé, le Pr Mohamed Taouil, membre du Conseil supérieur des oulémas. Si le donneur n'est pas en mesure de donner son avis, c'est à sa famille que revient le droit de trancher, en dépit du fait que nombre de spécialistes soutiennent que le cadavre ne lui appartient pas de droit. Coopération maroco-canadienne en ingénierie Karim Ghellab, ministre de l'Equipement et du Transport, s'est entretenu, jeudi après-midi, avec les responsables de l'Ecole polytechnique de Montréal (EPM). Au cœur des discussions se trouve le renforcement des échanges et du partenariat entre l'EPM et ses homologues marocains d'ingénierie, comme l'école Hassania des travaux publics et d'autres écoles marocaines d'ingénieurs dans les domaines de la formation et de la recherche scientifique. Les systèmes d'enseignement, les axes de recherche prioritaires, les possibilités de coopération dans les domaines de la recherche et de la formation en ingénierie ont été également au centre de ces entretiens. Amara soutient la Moudawana Présente au Salon international de l'édition et du livre (SIEL), Fadéla Amara, secrétaire d'Etat française chargée de la Politique de la ville, a qualifié la Moudawana «d'acte politique très fort». Un exemple non seulement pour le Maghreb mais pour l'ensemble du monde arabe. La Moudawana donne la démonstration «qu'on peut être musulman et inscrit dans une démarche d'égalité entre hommes et femmes», a ajouté la fondatrice de l'association française «Ni putes ni soumises». Le syndicat démocratique de l'enseignement supérieur du Maroc (SDESM) a dévoilé ses cartes mercredi à Rabat. Ses membres demandent l'indépendance de l'université, ainsi que la révision du statut des enseignants-chercheurs de même que le renforcement de la politique de la recherche scientifique. En marge de cette rencontre, le SDESM a annoncé l'organisation d'un sit-in, le 19 février, devant le siège du ministère de tutelle à Rabat pour défendre ses revendications.