Après que la Cour des comptes a tiré la sonnette d'alarme concernant les entraves au Plan national de l'eau, Nizar Baraka, ministre de l'Equipement et de l'Eau, a pris la parole à la Chambre des représentants pour apporter des éléments de réponse. Le constat émanant du rapport de la Cour des Comptes était sans appel : La crise aiguë de pénurie d'eau ne saurait être entièrement imputée aux caprices du climat. Elle est également le fruit d'une accumulation de retards... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.