Bien que des progrès aient été réalisés dans la volonté de l'Etat de lutter contre l'économie informelle, il reste des défis à relever. Pour la Commission fiscalité et douanes de la CGEM, il va falloir, en 2024, en plus de mesures concrètes à la fois fiscales et non fiscales, ajuster le Code des douanes, en révisant les droits sur les intrants industriels. L'économie informelle représente un défi persistant pour le Maroc, avec des implications économiques et fiscales significatives. Certes, des... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.