De la finance à la distribution d'eau et d'électricité, la plupart des filiales des groupes internationaux opérant au Maroc remontent la quasi-totalité de leurs bénéfices nets sous forme de dividendes à leurs maisons-mères. En 2021, 14,5 milliards de DH ont ainsi été transférés. C'est un des postes que surveillent discrètement les autorités monétaires même si ce n'est pas la plus puissante des pompes aspirantes des réserves de change. Plus le Maroc attire les investissements directs étrangers (IDE), plus les transferts... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.