Une partie «non négligeable» de la TVA sur les biens et services achetés via les plateformes Internet par des particuliers, voire des entreprises, échapperait aux radars de l'administration fiscale. Comment, en effet, appréhender la taxe sur la valeur ajoutée relative à un logiciel acquis en ligne ou sur ces centaines de milliers de nuitées d'hébergement que réalise, tous les ans, Airbnb auprès des Marocains qui font «discrètement» référencer leur appartement dans la base de données de ce qui est... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.