Près de 21 MDH. C'est le montant que doit le ministère de la Santé aux centres de néphrologie privés de Casablanca. Ce montant correspond à l'exécution par ces centres d'un contrat avec le ministère, portant sur la prise en charge médicale de 520 patients depuis juillet 2011. Selon l'association des néphrologues du Maroc, ce retard dans le paiement peut mettre à l'arrêt les centres d'hémodialyse qui seront confrontés aux risques de cessation de paiement. «Les centres ne seront pas non plus en mesure d'assurer une prise en charge en dialyse, aussi bien des patients dans le cadre du partenariat avec l'Etat que des autres patients», précise-t-on auprès de l'association. Le raisons et les répercussions de cette situation particulièrement délicate dans votre numéro des ECO, maintenant en kiosques.